Vendredi 27 janvier 5 27 /01 /Jan 20:23

Ce jour là Christelle ma compagne travaillait.

Son père qui m'appréciait beaucoup mais plus encore depuis qu'il était tombé sur mon blog m'appela pour me proposer de le rejoindre chez lui. Il avait quelque chose à me montrer. J'acceptais sans rechigner sachant que sa proposition ne souffrait en réalité d'aucun refus.
A mon arrivée il m'offrit un verre avant de m'inviter à le suivre dans la chambre où il avait posé des affaires qu'il souhaitait me montrer.
J'entrais dans la chambre derrière lui et fus surpris de découvrir, étalés en travers du lit, une guêpière noire avec de fines rayures et le string assorti, des bas noirs alignés avec l'ensemble, ainsi que des escarpins de la même couleur posés sur l oreiller à côté d'une perruque blonde de toute beauté.
Je le regardais un brin interrogateur lorsqu'il me pris la main et me fit avancer jusqu'au pied du lit.
"Voici un cadeau que je souhaitais t'offrir" me dit-il ! 
"Je suis tombé par hasard sur ton blog et il m'a donné envie de profiter de ton corps comme tous ces hommes qui peuvent apparaître sur certaines de tes photos" poursuivit il !
"Je n'ai rien raconté à Christelle mais s'il le fallait je n'hésiterais pas. Je te propose de te travestir cet après midi et de jouer avec moi. J'ai le sexe en feu d'avoir visité ton BLOG et j'ai le goût de me soulager sur toi. Tu peux refuser mais je me verrais dans l'obligation de révéler tes goûts sexuels et je ne suis pas sur que ça lui plaira"
La question ne se posa pas longtemps. Entre les menaces et l'excitation qui m'avait gagné, j'acceptais la proposition. Je lui demandais simplement de s’éclipser une heure le temps de me préparer. 
Une heure plus tard je l'attendais assise sur le canapé. Il s'approcha rapidement et s'assit à côté de moi. Il m'admira quelques instants avant de me caresser les jambes de bas en haut pour finir une main sur l'extérieur de mes fesses. Il se pencha vers moi pour chercher un baiser que je ne refusais pas. Nos deux langues se mêlèrent un moment tandis que nos mains se baladaient sur nos corps respectifs.
Soudain il se leva, débraguettant son pantalon rapidement. Il sorti sa queue bien raide et me la présenta en me demandant de le sucer à genoux car il avait fantasmé sur ce scénario. 
"Suces petite salope, j'ai envie de mettre ma queue dans ta gorge et te fourrer ensuite" tout en concrétisant ses paroles par des actes. J'avais sa queue en marbre qui coulissait déjà entre mes lèvres, à genoux mes mains s’agrippaient à des fesses bien fermes pour subir cet assaut aussi soudain qu'attendu. La chaleur de la saucisse que je dégustais n'avait rien à envier à nos plats régionaux. J'appréciais l'onctuosité de la peau qui montait et descendait sur le gland au rythme de ma pipe. 
J'avais le clito au paroxysme de l'érection, au point de me jeter sur ses couilles pour les déguster comme un dessert après un repas succulent. Elles fondaient dans ma bouche et je les gobaient délicatement comme des oeufs de porcelaine. Elles s'entrechoquaient sans se rivaliser, complices l'une et l'autre comme deux siamoises.
J'entendais mon beau père haleter et d'une main ferme il serra ma nuque pour me faire comprendre qu il voulait se faire à nouveau sucer le dard. Je ne résistais pas. Je serrais mes lèvres sur sa bite de façon à lui tirer d autres soupirs d'extase. Il fermaient les yeux pour mieux apprécier tandis qu'il continuait à m'insulter. J'étais une salope, sa salope telle qu il en avait toujours rêver et le fait d'être travesti n'avait aucune incidence sur son excitation bien au contraire. 
Sa bite bien épanouie, bien bandante allait et venait en moi. Je cherchais sans relâche à le faire venir rapidement pour calmer son corps.
Tandis que je le suçais il matait le reflet de mon cul dans la glace et soudain me fit comprendre qu'il souhaitait y accéder...."Tourne toi sale petite pute que je te prenne. Mon dard ne tient plus et j'ai besoin de jouir entre tes cuisses."
Je lâchais ma prise pour m'offrir à lui comme une pucelle le soir de son mariage. Mon trou parcouru de soubresauts invitait mon amant à venir le remplir.
Il se plaça derrière moi et me pénétra sans délicatesse. Heureusement que j avais lubrifié l ensemble avec mon produit miracle...la capote ne se déchira pas et coulissa dans le conduit sans réduire l'excitation de mon amant. Il m'appelait sa petite femme et jalousait sa fille de coucher avec une aussi belle nana. Sa queue s'occupait de mes reins et  ses mouvements m arrachaient des cris étouffés accentués par la glace qui me renvoyait l'image de Candice enculée par le père de ma nana. 
Son dard bien ferme m envahissait. J'étais sa chose, sa petite femme. Depuis presque 'un an qu'il n avait pas baisé voilà qu'il s'en donnait à cœur joie. J avais les fesses en feu mais je cambrais encore plus mes reins pour l'aider à pénétrer plus profondément encore. Ses couilles tapaient les miennes à chaque assaut et je bandais comme un âne.
Je prenais un pied énorme à  être possédée par lui car nous allions pouvoir construire un couple soudé à l'insu de ma nana. J'inventerai des soirées rugby ou football en sa compagnie pour jouer avec lui sans avoir à craindre.
il caressait mes jambes gainées de bas noirs tout en me labourant les reins, insistant sur les jarretières pour remonter jusqu'à mes tétons qu'il savait sensibles. Le simple fait de jouer avec eux me tira une plainte mélodieuse de plaisir. J'ondulais du bassin tentant ainsi que le faire venir mais il souhaitait prolonger la séance en admirant ma jouissance avant la sienne.
Il se retira de mon trou et me présenta sa queue parfumée de la châleur de mon anus bien lacé comme à chaque rencontre. Je m'empressais de la sucer goulûment tout en commençant un lent va et vient sur mon clito durci par l envie de jouir. Mes quinze centimètres ne demandaient qu'à exploser de bonheur. Le gland rougit par la pression devenait écarlate. Il m'offrait sa bite chaude avec complaisance et mon corps se cambrait sous ses caresses viriles. J'aimais recouvrir sa bite jusqu'au plus profond de ma gorge et je senti une onde de choc débuter dans le creux de mes reins. Je pompais plus fort comme une bonne têteuse tandis que je me crispais sur mon clito qui lâchait sa semence comme un robinet qui fuit. Le sperme s'échappait lentement le long de ma hampe quand je surpris mon beau père plonger sur celui-ci pour avaler mon jus tiède et abondant. 
Il se régala jusqu'à la dernière goutte avant de me remettre sa queue en bouche tout en se branlant dedans. Je caressais ses couilles comme pour récolter le nectar d"un fruit mur. Il ne tarda pas à venir alors que ma langue titillait son gland turgescent. Une giclée bien puissante frappa mon front avant  qu'une seconde n'atteigne mes yeux. Je me jetais sur sa bite pour canaliser cette éjaculation qui ne méritait pas de se perdre dans le vide. Je dégustais ce nectar chaud et crémeux en fixant mon beau père droit dans les yeux, en aspirant son dard conne une trayeuse pour la vider de tout résidu. Elle ramollissait dans ma bouche mais sa consistance m'emportait dans de troubles fantasmes que je comptais réaliser une autre fois.
Il se releva, me tapa sur les fesses et m'invita à rejoindre sa fille qui ne méritait pas d apprendre qu'elle était mariée à une vraie salope.....

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Commentaires

Je comprends l'excitation et le désir de ton beau père.

commentaire n° :1 posté par : chris le: 30/03/2017 à 21h19

  • ilestelle47 (Candice47 - travestie)
  • Travesti occasionnel, 56 ans, marié, entretenu, rencontre en semaine (HB 13/17 à l'hôtel sur Agen que vous payez) et/ou en clubs/saunas libertins certains soirs dans la semaine. Aucun plan en urgence, prise de contact obligatoire bien avant la dat

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