Mardi 16 février 2 16 /02 /Fév 22:06

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Avec mon escadron j'avais été désignée  pour une mission de maintien de l'ordre en Nouvelle Calédonie.  Durée de déplacement prévue de 4 mois. Nous devions rester sur Nouméa et nos femmes, comme à l habitude, ne pouvaient nous suivre.


J'avais préparé ma cantine dans laquelle j'avais pris soin d'y mettre quelques tenues sexys au cas ou une opportunité de jouer à Candice se présenterait pendant le séjour.
A notre arrivée sur place les choses avaient changé et au lieu de rester sur Nouméa notre positionnement avait été modifié. Nous devions migrer sur Poum ou la population locale se limite à quelques individus contrairement à Nouméa ville assez cosmopolite et agréable à découvrir.
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Nous arrivâmes à la nuit tombée et une rapide visite du secteur nous fit comprendre que les amusements seraient limités. Au petit matin l'impression générale fut assez vite confirmée lorsque nous firent une patrouille de la zone. Pour une zone ça en était une !!! Rien hormis quelques cabanes typiquement locales et quelques autochtones !
Nous étions sur les lieux depuis une quinzaine de jours et mes hormones ainsi que celles de mes camarades de déplacement commençaient à s'agiter dans le bocal. Aucune femme à l'horizon susceptible de soulager une envie passagère et si elle avait existé pratiquement impossible d'être troublé par sa sensualité ou son apparence sexy. Ici paréo et tong servaient à tout dans la vie quotidienne et nocturne.
Pour remédier à ce manque évident de féminité dans notre entourage immédiat j avais sorti de la cantine une partie de mes effets coquins. J'avais invoqué l'idée que ceux-ci m'aidaient à conserver un contact visuel avec les beaux dessous que ma femme aimait porter dans l'intimité. 
Un soir, nous décidâmes de jouer au poker strip-tease avec obligation pour le premier dévêtu d'enfiler un dessous féminin de mon "épouse" à chaque partie supplémentaire perdue. Nous en étions au début avec de franches rigolades qui faisaient oublier les tensions sexuelles qui s'accumulaient.
La soirée bien entamée, j en étais à conserver mon slip tandis que mes camarades avaient encore quelques vêtements leur laissant une longueur d avance sur moi. Je venais de laisser mon boxer en coton pour le remplacer par une autre à dentelles. Un moment plus tard, assortis  à un porte jarretelles je maintenais des bas autofixants qui  donnaient la tendance de ma chance. Une poupée ambigü se dessinait face à des camarades hilares. Je perdis les deux parties suivantes et me retrouvais à porter un soutien gorge noir à dentelles du plus bel effet. Les parties suivantes ne furent guère plus à ma main.  Malgré mon amour du travestissement je ne trichais pas. 

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Puisque j 'étais quasiment travesti je proposais à mes camarades de jeux d'aller me maquiller pour accentuer le côté féminin et pousser le vice à son paroxisme. Ces derniers acceptèrent avec entrain, plus tentés de voir une demie femme qu'une moitié d'homme.
Je me précipitais discrètement dans la salle de douches communes pour aller peaufiner mon maquillage. Je soignais particulièrement ce dernier car j'avais dans la tête de séduire mes collègues et jouer avec eux à autre chose qu'aux cartes. Ils me rappelaient mes soirées multis mecs chez un amant de Toulouse et l'abstinence du séjour ne faisait qu'accentuer mes envies de queues.
Rimmel sur les yeux, liner pour mettre en valeur mes yeux bleus, fond de teint pour masquer la barbe rasée au plus près, rouge à lèvres carmin pour mettre aux futurs pompiers des galons promotionnels. J'enfilais une perruque longue blonde dont les cheveux synthétiques tombaient sur les bretelles de la nuisette noire transparente que j'avais gagnée en perdant.
Perchée sur mes hauts talons noirs de 14 cms, la bride de cheville bien fermée, j'allais regagner la chambrée lorsque j'entendis, dans le couloir, les bruits de pas qui semblaient se diriger vers les douches. Je ma cachais aussitôt dans une des toilettes de la pièce en soulevant mes échasses pour ne pas agresser le regard d'un éventuel observateur.
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Un homme du peloton que je n'identifiais pas immédiatement entra en sifflotant un air de Sardou "être une femme". J'allais entonner avec lui le refrain lorsque je me ressaisi. J'osai un regard furtif à travers le mince écart de la porte et je vis un bel appolon en tenue d'Adam se déplacer dans la pièce et gagner la douche. Je n'avais pas d'autre choix que de patienter.
La buée commençait à gagner l'ensemble de la pièce et Londres n avait rien à envier à la salle d'eau. Un épais brouillard empêchait de distinguer un peigne ou une brosse à 3 mètres. Encouragée par ce complice inattendu je quittais les toilettes. Je passais devant la vitre de douche qui laissait deviner un corps nu dont le parfum du savon envoûtait mes narines. 
J'avais reconnu le lieutenant du peloton et je savais pour avoir surpris une conversation qu'il ne détestait pas l'idée de jouer avec un travesti. Sans doute alerté par l'ombre de mon corps passant devant la vitre il demanda qui était là. Je pris une voix légèrement efféminée pour m'identifier tout en entrouvant la porte de la douche. Je passais une main manucurée et vernie pour saisir délicatement ses parties génitales afin de ne pas lui laisser le temps de se barricader.
Entre mes doigts, une verge humide à la peau de velours se contenta de réagir en enflant immédiatement. Elle occupait ma main qui coulissait sur le gland de bas en haut et de haut en bas. La peau de celui ci de plus en plus à l'étroit dans son fourreau prenait du volume. J'imprimais une légère pression dessus pour inviter son propriétaire à sortir de la douche de façon à ne pas mouiller mes bas en m agenouillant devant cet organe que je comptais bien sucer. 
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En retrait des flaques d'eau je m'agenouillais devant cette offrande tant convoitée. Mes lèvres s'appliquèrent à ne pas brusquer mon partenaire qui ne paraissait pas surpris. (J'appris plus tard qu'il avait été prévenu par un de mes camarades pour aller me rejoindre dans la douche. Ce dernier souhaitait lui laisser la primeur de mes caresses).
Ma bouche refermée sur son membre encore tiède s’imprégna de son goût aux saveurs des iles calédoniennes. Les séances de bronzage quotidiennes dans une anse reculée avait tanné sa peau qui respirait la santé. Ma langue s'enroula autour de ce sexe comme un python autour de sa proie. J'étudiais la cartographie de son gland comme un militaire à la veille d'une attaque importante. Ce dernier écarlate palpitait entre mes lèvres à la cadence d'un métronome. 
J'entendais déjà les plaintes furtives s'échapper de mon partenaire en transe. Elles s'enfuyaient dans la pièce qui résonnait d'elles au rythme de mes succions qui se faisaient plus intenses avant de retomber aussitôt. J'aimais casser le tempo pour laisser le temps à la sève de s'accumuler dans la chambre. Mes mains expertes avaient saisi les bourses et la colonne afin d'assister mes caresses bucales.

La bite de mon amant de l'instant se cognait sur mon menton et j en profitait pour la frotter sur mes joues, mes yeux, mon nez. J'humais ce parfum qui m'avait fait défaut depuis plus de quinze jours. Je décelais dans ses effluves une odeur de sperme chaud qui bouillonnait loin derrière le prépuce mais qui remontait par les canalisations en état de surchauffe.
Je déposais de doux baisers sur ce gland en fixant mon lieutenant droit dans les yeux. Il était au garde à vous sans que j'ai eu  besoin d'en donner l'ordre. Pour une fois qu'un supérieur s'exécutait à la vue d'un subordonné.
Je me relevais en prenant la main du lieutenant et l'invitait à me suivre dans la chambrée qui devait s'impatienter de mon retour. Main dans la main j'entrais dans la pièce. Chacun avait pris ses aises et je découvrais mes amis nus comme des vers. Tous les acteurs avaient perdu aux cartes ou mes camarades s'étaient préparés à abuser de mon corps sans aucune retenue. Tout cela ne pouvait que me réjouir.
J'ondulais des fesses en accentuant ma démarche féline. Elles oscillaient de droite à gauche sous l'oeil attentif de mes partenaires. Ils me demandèrent de déambuler à plusieurs reprises devant eux. Je ne me fis pas prier.
Ma nuisette noire transparente laissait deviner mon porte jarretelles et mes bas assortis. Sur mes hauts talons mes petits seins inoffensifs balbutiaient de désir et les têtons se frottaient avec gourmandise sur le tissu qui depuis ma plus jeune enfance m'électrisait. Sans s’énerver plus que de raison mon clito avait pris du volume et tentait de s'émanciper du string.
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Après quelques minutes que je mis à profit pour réveiller les derniers réfractaires s'il en restait je vins m asseoir sur les genoux de mon copain l'adjudant. J'avais eu l'occasion d'apercevoir sa queue à quelques reprises. Je savais qu'elle avait la structure idéale pour mes reins qui vibraient à son appproche comme un geyser dans un cabinet de radiographies. Je plaçais mes fesses de façon à mettre cette queue entre mes deux lobes et je senti que mon adjudant ne restait pas insensible à mes avances.
Dans mon corps, son envie de moi se propageait à la vitesse de la lumière. Mes sens aiguisés me disaient de poursuivre mes provocations. Un doigt plus courageux que les autres écarta la ficelle du string et son gland encapuchonné se positionna sur ma rondelle. Cette dernière aux aguets lubrifiait comme une fille en mal de mâle, comme une vierge qui veut déchirer son hymen pour prouver son amour à son petit copain.
Je me convulsais sur ce gland qui cherchait l'angle de pénétration idéal. J'enfonçais sur cette colonne centimètres après centimètres comme les vagues sur la plage à la marée montante. Pendant mes efforts discrets un camarade avait avancés sa verge à hauteur de mes yeux en se branlant en cadence. Je tendis la langue pour qu'il vienne y poser cette dernière. Une fois au bord du palais j aspirais, je siphonnais pour absorber la bête dans sa totalité. 
Les deux autres amants s'étaient avancés à leurs tours de chaque côté de la statue que je représentais. Ils me prirent les mains qu'ils posèrent sur leurs queues turgescentes. Je fis un mouvement de va et vient sur chaque colonne tout en ondulant encore et encore du bassin. L'adjudant maintenait mes hanches fermement en imprimant un rythme régulier. Son gland venait chatouiller le fond de mon vagin tandis que je suçais goulûment un autre et ne pouvant parler la bouche pleine, je n'exprimais pas mes sentiments aussi fort que je l'aurais souhaité.

Je sentis que mon adjudant s'énervait un peu entre mes reins et pour calmer ses ardeurs je décidais de me retirer. Mon anus se libéra de cette emprise à l'image d'une banane qu'on pèle....Appuyée sur mes talons je remontais lentement de façon à décalotter le gland qui ne demandait qu'à reprendre son souffle. Aussitôt sorti de son habitacle je plongeais la bouche grande ouverte dessus en abandonnant mon cul aux autres spectateurs.
Je me délectais de mon odeur de foutre qui parfumait cette queue bien dure après m'avoir possèdé longuement. Je la suçais  alors qu'elle avait visité mes entrailles vidées de toute impureté mais dont mes effluves personnelles enivrantes me tétanisaient de plaisir.
Derrière moi des queues se frottaient sur mes fesses. Les joueurs piaffaient d'impatience face à un dilemme à résoudre. Qui entrerait le premier. Un gland bien épais se posa sur ma rondelle après avoir lubrifié le conduit. Une poussée lente et progressive décontracta mon sphincter qui invita cette agresseur à me posséder totalement. Je senti la colonne en progession troubler ma fellation au point de m'inciter à onduler les hanches pour favoriser la pénétration.
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Enculée à fond je pompais fort le second amant tout en contractant mon sphincter anal pour exciter mon assaillant. Il prenait appui sur mes reins pour me secouer l'arrière train qui ployait sous les coups mais ne rompait pas. Je l'entendais éructer des insultes à mon encontre du genre "quelle belle saslope tu fais là" ou "petite garce soulage nous". Mon clito à l'écoute de celles ci pointait une érection non dissimulée.
En se couchant sous mon corps un joueur s'était emparé de ce dernier. Il suçotait doucement le gland comme une poule qui découvre un couteau. Je libérais une main pour venir la plaquer derrière sa nuque et lui enfoncer mon organe au fin fond de sa gorge oubliant qu'il était entrain de suffoquer.
Je lâchais ma prise buccale pour m'attarder sur une autre qui se présentait à moi comme un cadeau tombé du ciel. Elle devait faire 17 ou 18 cms sur 5 de circonférence ce qui n'était pas pour me déplaire. Elle appartenait à mon camarade gendarme du même âge que moi et elle avait la particularité de recourber vers le haut en état d'érection totale. Elle me rappelait de merveilleux souvenirs solitaires dont mon premier orgasme. 
Cet orgasme en effet m'avait irradié et anesthésié de longues minutes en jouant avec un gode aux formes similaires. Dans mon souvenir il lui ressemblait trait pour trait comme un moulage à l'identique. Mon premier orgasme anal était rattaché à ce clone et lorsque j'avais joui, empalée sur ce jouet, j'avais failli m'évanouir de plaisir n'évitant la chute qu'à la proximité d'un mur sur lequel mon épaule vint s'appuyer. Les sensations intenses découvertes ce jour là me révélèrent que cet orifice ne devait plus jamais se boucher pendant de longues périodes.
Je m'en tenais donc à cette constatation pour me laisser sodomiser régulièrement et ce soir j'allais enfiler ma troisième queue, mes deux précédents partenaires ayant opté pour la fellation qu'il devinait délicieuse tant mon aptitude à les rendre langoureuses se dégageait des premières impressions.
Je m'étais cependant relevée pour me couche en travers du premier lit trouvé. Avant d'opérer quelque introduction il vint chercher un long baiser langoureux que je partageais sans complexe avec lui. Mon haleine parfumée à la queue savonnée lui donnait un avant goût des queues qui avaient précédé sa langue.
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Il se redressa après une bonne minute d'un baiser intense et vint soulever mes jambes pour les appuyer sur ses épaules et me prendre de face. Mes bas frottaient ses joues rosies par l'effort et l excitation. Je regardais mes longues jambes jetées vers le plafond quand une queue se posa sur mes lèvres m'invitant à la sucer. 

A hauteur d'yeux, non plus une mais deux paires de couilles ballotaient devant moi. J'en avalais une coupe tandis que d'une autre main j'entreprenais une palpation des bourses du moins rapide. Je suçais ensuite à tour de rôle les attributs de mes deux partenaires tout en fixant le troisième, orphelin de caresses, qui se masturbait à hauteur de mon ventre.

4 mecs s'occupaient de moi tandis que je n'en contentais que 3. Quelle injustice pour le punis. Qu'à cela ne tienne j'allais le privilégier en fin de séance afin de ne laisser personne sur la touche.

Pour le moment je profitais des assauts répétés des couilles des uns et des autres et mes orifices se régalaient. J'avais des soubresauts de plaisir qui inondaient mon corps, mon plaisir de sucer laissant place à une sodomie délicieuse. Le contexte d'offerte à tous m'excitait comme jamais et mon bassin imprimait un rythme sur la queue qui me possédait....à tel point qu'on ne savait pas qui possédait qui.

Les deux mecs que je suçais, n'y tenant plus, sans doute émulation de la proximité, se mirent à se branler au dessus de mon visage avec frénésie. Le léchais leurs couilles qui glissaient sur mon visage. Par moment ils s 'amusaient à glisser leurs queues sur mes joues et mes lèvres avec le bout rouge écarlate qui ne retombait pas. Je senti soudain un râle s'exprimer comme le tonnerre d'un orage qui s'approche. Le bruit remonta de ses tripes et une purée onctueuse s'échappa sans prévenir de sa bite en feu pour aller s écraser sur mon nez et mon menton. 

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Il fini de se vider en étalant toute sa semence sur mon visage ce qui eu pour effet de libérer le second qui cria sa rage du bonheur qui s'échappait. Un liquide chaud comme du lait sorti d'un pie de vache vint se mélanger au précédent et macula mon visage comme un masque de beauté. 

Alors que je savourais cette douche de sperme je sentis les assauts sur mon bassin se précipiter à leur tour. Remontant mes jambes plus haut encore qu'elles ne l étaient déjà il poussa son sexe de belle facture au fin fond de mon cul en rugissant comme un lion qui tentait d'attraper un festin.
Je sentis sa verge se contracter à plusieurs reprises tandis qu'il s'effondrait lentement sur moi appréciant l'instant jusqu'à la dernière goutte qui abandonnait son corps.

Secouée par ces moments intense mais pas encore abattue je décidais d'achever la séance en duo avec le seul mec qui n avait fait que regarder. Je le poussais sur le lit pour qu'il s allonge. Son sexe en porte drapeau avait la consistance d'un béton de deux jours. Il palpitait à un rythme cardiaque élévé ému par les scènes auxquelles il avait assisté en tant que spectateur.

Ma langue s'enroula autour de cette colonne de marbre et vint lécher le gland pour le faire briller de désir. Une goutte de sève perlait sur le prépuce et glissa sur toute la longueur de la verge. Je rattrapais cette dernière au moment même ou elle se frayait un chemin sur des bourses gonflées d'envie. Ce soir ma langue se répandit sur toute la largeur de ces boules d'amour que je vénérais.

Lentement je remontais sur le nombril, le torse que je gratifiais d'une succion des tétons qui durcirent sous mes caresses. Ils rivalisaient de fermeté avec la bite que ma main maintenait en état. Enjambant l'intéressé je me positionnais face à lui, le regard pénétrant tout autant que sa queue que j avais rapidement absorbée entre mes reins. Mon bassin ondulait déjà, un doigt posé sur les lèvres de mon amant.

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Je chevauchais un cavalier qui avait patienté toute une soirée avant de me posséder. J'appuyais mon bassin fermement sur son sexe pour ne perdre aucun centimètre et d'une main je poussais ses couilles sur mon trou comme pour les y faire entrer également. Pendant ce temps j avais invité deux amants à me taquiner les seins chacun de leurs côtés et je suçais le dernier déjà ragaillardi.

Une bite en bouche et une dans le cul je décidais enfin de me gâter pour prendre mon pied et soulager mes sens. Je commençais une masturbation lente et progressive sur mon clito qui avait une forme consistante. Mes seins durs, excités en tempo par mes joueurs, mon anus dilaté par une queue énergique je montais en tension.

Quelques minutes à me branler, à gémir de plaisir, à m agiter sur cette verge gonflée de désir, à pomper cette autre toute aussi belle mon excitation n'allait pas tarder à s'exprimer ouvertement. Je lâchais quelques instant ma pipe en cours pour chercher un baiser intense avec un amant demandeur. Une grosse pelle bien baveuse avant de reprendre en bouche ma colonne vertébrale, mon pieu de maintien, ma bite d amarrage.

Je venais lentement mais surement. Mon sperme était au bord de l'explosion, accumulé dans mes bourses pleines à craquer. Désormais je m activais avec frénésie sur mon sexe quand soudain une jouissance du premier jour vient irradier mon corps dans sa totalité. J'avalais sur toute sa longueur la queue introduite dans ma bouche de manière à m'auto infliger une gorge profonde. Je pompais ferme dessus comme pour y chercher l'air qui me manquait pendant cet orgasme intense. Dans mon cul des spasmes forts et violents m'indiquèrent que je venais de faire jouir mon dernier amant.

J'avais inondé son torse et son ventre de tout mon liquide épaissi par la violence de la jouissance. En passant dans les tubes mon sperme avait pris de la consistance pour devenir crémeux comme un yaourt grec. Un invité se précipita pour lécher ce don de ma nature. Les autres poursuivirent quelques minutes encore leurs caresses, leurs douces attentions histoire de me permettre de profiter au maximum de la situation et reprendre mes esprits tranquillement.

Nous nous libérâmes des chaines qui nous entravaient encore et regagnèrent la table pour achever une partie de carte qui en appelait une autre par revanche.





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  • ilestelle47 (Candice47 - travestie)
  • Travesti occasionnel, 56 ans, marié, entretenu, rencontre en semaine (HB 13/17 à l'hôtel sur Agen que vous payez) et/ou en clubs/saunas libertins certains soirs dans la semaine. Aucun plan en urgence, prise de contact obligatoire bien avant la dat

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