J'avais rendez vous en début d'après midi avec un agriculteur qui souhaitait valoriser au mieux son exploitation
agricole et surtout optimiser le rendement de ses cultures.
Je devais aller sur le terrain étudier ses cultures et lui expliquer quelles mesures prendre pour augmenter les
quotas de rendement sans frais supplémentaires.
Au téléphone j'avais eu sa femme qui avait l'air tout à fait charmante. Elle avait une voix envoutante....mi homme
mi femme...un timbre grave mais pas agressif.....Et j'avais imaginé une amanda lear jeune au profond décolleté et à la tenue féminine. Maintenant pour connaitre le milieu, je savais plus ou moins
que les escarpins étaient remplacés par les bottes et les robes et dessous à dentelles par des bleus de cote ou des tabliers.
Le jour J je confirmais par téléphone ma venue et tombais à nouveau sur madame qui m'envouta à nouveau avec sa
voix particulière. Une image me vint immédiatement à l'esprit. Peut être était elle androgyne et je savais par expérience que ces corps entre deux êtres me remuaient généralement le bas du
ventre. Elle m'expliqua que son mari était souffrant et qu'il ne pourrait aller avec moi dans les champs. Elle s engageait à le remplacer et je lui expliquais que mon déplacement serait
commenté verbalement avec elle mais aussi par écrit, que son mari aurait tout le temps d'étudier mes propositions. Nous nous entendîmes pour un rdv à 13h aux abord de la parcelle de terrain à
valoriser.
A l'heure dîtes je garais ma voiture sur un chemin de terre attenant au champ. Devant moi une DS3 rouge très
récente sans personne à bord. Plus loin dans mon axe de vue une petite bergerie semblait abandonnée. J’aperçus près de celle-ci une dame me faire des gestes du bras.
Je m avançais à sa rencontre et je constatais en m'approchant que la fermière que j'étais censé rencontrer avait
plus l'allure d'une pin-up qu'une bergère. Elle portait une jupe moulante écossaise rouge et noire qui valorisait son terrain corporel à défaut de ses céréales. Un chemisier à dentelle de la même
couleur masquait difficilement une guépière assortie.
Des bas noirs et des escarpins rouges finalisaient l'ensemble. Elle arborait une longue chevelure blonde du plus
bel effet.
Je lui serrais la main et la chaleur de sa paume contre la mienne m'électrocuta intérieurement. Assommé par ce
contact chaleureux je reçu un second uppercut lorsqu'elle se présenta avec sa voix hors compétition.
J'étais envouté, hypnotisé, paralysé. Seul mon corps sexuel semblait réagir. Le printemps revenait dans mon
pantalon, je sentais les prémices d'une éclosion de mon bourgeon.
J'allais entamer tant bien que "mâle" mon exposé lorsque cette charmante créature au corps ambigu m'invita à
entrer dans la bergerie. En franchissant la porte, j’aperçus étalé sur une paille fraiche et dorée, un drap en satin sur lequel elle m'invita à m'asseoir. Je prenais la mangeoire comme appui pour
mon dos et m'installait assez confortablement compte tenu des lieux.
L'odeur de paille fraiche, son craquement sous mon corps, sa couleur m'emportèrent quelques instants dans ma
jeunesse au cours de laquelle j'avais sympathisé avec une jeune paysanne pendant l'été de mes 16 ans. Rapidement une main aux doigts effilés et vernis caressa ma cuisse doucement comme en attente
d'une approbation et me ramena à la "dure" réalité. Mon sexe éclos depuis les premiers instants tambourinait à la porte de ma braguette sans chercher à fuir l'obstacle inattendu.
Ses doigts inquisiteurs s'aventurèrent plus en périphérie de mes boutons de braguette et s'amusèrent à
déboutonner un à un les derniers remparts de mon intimité. La laitière se pencha au dessus de mon corps et entrepris une descente sur mon anatomie. Ses longs cheveux caressaient mon pubis avant
même que sa bouche ne s'empara de mon gland. Des lèvres parfaitement lubrifiées vinrent encercler mon sexe comme pour lui signifier qu'il n'avait d'autre issue que de se rendre. Je cherchais pour
lui une parade, une dernière esquive mais mon cerveau était totalement amorphe et n'exécutait plus les ordres que j'avais du mal à donner.
Je commençais à m'abandonner sous ces délicieuses caresses buccales tandis que mes mains cherchèrent une intimité
humide qui n'arrivait pas. Au lieu d'une délicate chatte en feu mes mains s'arrêtèrent sur un doux sexe d'homme en érection caché sous ce splendide corps de "femme". Mes premières impressions
téléphoniques venaient de se révéler exactes. Le couple atypique homme/trav gérait ensemble la ferme locale. Cette découverte surprenante et excitante fit monter en côte les actions investies
dans ce rendez-vous. Nullement contrarié je me laissais aller à gémir d'une sensation nouvelle.
Candice comme elle s'était elle-même présentée, une travestie/cultivatrice m'administrait une fellation du plus
bel effet. J'imaginais cet homme, cette moitié d'homme, cette autre de femme qui avait apprivoisé sa féminité et qui s'en servait comme d'une arme sensuelle. Je voyais une "femme" et pourtant je
touchais deux bourses délicatement épilées magnifiées par un sexe dur, de taille moyenne en érection par ma faute. Mes mains ne pouvaient s'éloigner de cette imposture qui n en était pas une. Je
caressais se sexe comme s'il s'était agit de celui d'une femme sans aucune retenue. J'entendais des gémissements de celle-ci se laissant faire tandis qu'elle me suçait savoureusement. Ses
caresses anéantirent toute résistance et je me laissais glisser sur le drap pour adopter la position allongé. Tandis que Candice jouait avec mon sexe comme s'il s'agissait d'une glace italienne
je gardais mes mains au contact de ses parties intimes. Elle descendait lentement sur ma queue dure comme du marbre et ses lèvres jouaient avec mon gland de manière à diffuser à chaque passage un
arc électrique dans mon bassin. Je sursautais à chaque fois sans comprendre ma faiblesse. Sa langue s'enroulait autour de ma verge comme le serpent autour de la caducée de pharmacie. Je sentais
son onctuosité s'emparer de la base du membre et remonter sur la peau jusqu'au gland découvert. Le tout était doux agrémenté de bisous langoureux avant qu'une mini tornade ne vienne pomper ma
queue avec une gourmandise non contenue. On sentait l'amour du sexe d'homme s'emparer du démon Candice. Elle s'activait énergiquement sur mon dard tout en laissant s"échapper des plaintes
étouffées.
Elle aimait ça et savait me le montrer. Je tenais sa tête fermement plaquée contre mon pubis à chaque gorge
profonde jusqu'à entrevoir des hauts le cœurs d'alerte et je la laissais reprendre son souffle.
Elle reprenait ses esprits et recommençait ses caresses lascives, envoutantes, déconcertantes, inégalées jusqu'à
présent par aucune de mes maitresses. Ses doigts taquinaient mon anus sans forcer l entrée. Je sentais un frisson parcourir mon corps et remonter le long de mon échine.
Elle cessa tout mouvement et remonta vers mon visage en déposant des baisers sur mon ventre, mon torse avant de
chercher mes lèvres et me rouler un baiser amoureux. Nos langues se mélangèrent frénétiquement tandis qu'une main me masturbait gentiment. J'étais submergé de plaisir et n'avait pas imaginé une
valorisation de terrain aussi sympathique. Je sentais bien les graines s'accumuler dans mes bourses et ne souhaitait pas pour autant qu'elles se reproduisent. Devais je renoncer à faire valoriser
mes actions boursières ?
J'en étais à cette question non existentielle lorsqu'elle souleva son bassin et vint chevaucher mon cou en plaçant
ses deux jambes gainées de bas noirs autour de mon visage interrogateur. Elle extirpa de son string deux belles bourses qu'elle déposa délicatement sur mes lèvres, alignant parfaitement le clito
long et dur dans l'axe de sorte qu'il vienne se poser sur mon nez. Je senti les effluves de son excitation et mon érection redoubla.
D'abord timide, ma langue s'aventura au fur et à mesure que son bassin ondulait sous mes caresses. Candice avait
attrapé mes deux mains pour les poser sur ses tétons qu'elle m'invita à taquiner doucement. Elle vibra dès les premières caresses tandis que d'une main ferme elle avait dirigé son sexe dans ma
bouche accueillante. Elle allait et venait en moi comme dans un vagin sans accélérer, délicatement en maintenant fermement ma tête entre ses deux mains. Elle prenait un plaisir évident à se
laisser gâter.
Au bout de quelques minutes qui me parurent des secondes, elle se retourna et m'offrit sa rosette à déguster. Je
titillais de la langue son petit trou rose tandis qu'elle caressait ma verge gonflée de désir. Elle gémissait sensuellement et s'assit plus fermement sur mon visage avant de plonger sur mon sexe
tendu qu'elle avala sans coup férir. Elle sembla s'énerver d'excitation sur ma verge qui rassemblait les petits spermatozoïdes aux abords de la chambre de tir.
Elle se déplaça et se remis entre mes jambes que je refermais autour de son cou. Elle entrepris définitivement un
long travail de sape qui n'avait d'autre but que de me faire jouir. Je sentais ses lèvres coulisser sur mon sexe lentement, très lentement, de haut en bas, de bas en haut. Cette humidité
s'accompagnait d'un jeu de langue qui remontait mes tripes pour ordonner aux petits soldats l'approche de l'assaut final.
Elle sauta sur mes bourses qu'elle goba frénétiquement mais sans excès tout en me masturbant pour maintenir mon
érection avant de revenir me sucer d'un mouvement régulier et appuyé. Je crispais le corps, mes mains attrapaient la paille que je froissais de plaisir. Une vague lourde et lente pris naissance
dans mon bassin. Elle s'enfla de rouleaux en rouleaux pour devenir la vague du siècle sur laquelle surfait la bouche chaude de candice jusqu'à se transformer en un puissant tsunami m'arrachant
des râles inconnus qui résonnèrent dans la bergerie comme la naissance d'un agneau. Des larmes de plaisir perlèrent aux coins de mes yeux tandis qu'un jet puissant semait mes graines fécondes sur
mon torse et en partie sur le visage de Candice.
Elle me regarda avec un sourire radieux, l’œil coquin qui savourait sa victoire. Elle attrapa quelques gouttes de
mon jus avec ses doigts et vint me les faire lécher. Elle s'effondra doucement sur mon torse et se laissa caliner quelques longues minutes comme pour reprendre des forces qu'elle comptait
utiliser pour un autre round à venir. Serait ce aujourd'hui ou la prochaine fois ? La réponse ne mis pas longtemps à apparaitre quand dans le chambranle de porte je vis son mari. Ce dernier avait
assisté à toute la scène sans que je m'en aperçoive. D'un commun accord entre elle et lui...da,s ce coin retiré de banlieue, les représentants subissaient un contrôle technique avant toute
négociation commerciale.
Sans savoir pourquoi je sentais qu'un nouveau rdv serait nécessaire avant de vendre mes prestations.
Merci à toi bernard3131...j'apprécie les compliments car je sais qu'ils sont sincères et c est toujours encourageant de se faire flatter...bisous
Merci.....tu sais ce qu'il te reste à faire pour voir le corps du délit de près...bises
Un recit inspirer d une chaude soiree d ete a laquelle j aurai du acceder plus vite...
Une belle blonde comme le ble m avait alors fait connaitre le plaisir d une recolte exceptionnelle...
Nos epis sentremelrent et tu te delecta avec tant te gourmandise de fruit de palisir....
Ici pres de mon autre montagne je regrette tant la saison campagnarde....
Bises
Te souviens tu le temps perdu des moissons ? Ce temps où la récolte aurait pu être abondante mais que tu as laissé filé par peur de ceci, de cela, par peur d'avoir affaire avec une tarée qui serait venue ensuite détruire ton ménage. Te souviens tu combien tu regrettes maintenant de ne m avoir rencontré qu'une fois.
Bises Candice