Dimanche 10 juillet 7 10 /07 /Juil 10:01

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Le 48ème régiment de transmission d’Agen organisait ce jour là une journée porte ouverte. C’était mon ancien régiment, j’y avais sans doute encore quelques connaissances, des amis ou des ennemis, et mes « portes  personnelles » avaient décidé elles aussi d’être ouvertes à tout le monde ce jour là avec une préférence aux galonnés.

 

J’avais enfilé une tenue BCBG constituée d’un tailleur noir arrivant à mi cuisses, d’une guépière blanche recouverte d’une chemise transparente noire, bas couleur blanche et sandales noires hauts talons de 12 cms, string assorti.

 

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Au poste de garde on contrôla mon identité et un sourire coquin envahit le visage de mon garde lorsqu’il constata que la carte d’identité ne correspondait pas à la belle femme qu’il avait en face de lui. Moyennant quelques œillades appuyées et un léger entretien en aparté le jeune militaire accepta sans problème de me laisser rentrer (Il avait glissé son N° téléphone discrètement dans l’échancrure de ma poitrine et sa langue essuyant ses lèvres tout en me fixant intensément droit dans les yeux en  disait long sur ses intentions).

 

Je me promenais de bâtiment en bâtiment en flânant  agréablement tout en cherchant les toilettes pour aller me soulager. Je décidais d’aller voir à l’étage histoire de déhancher mes reins dans les escaliers. Faire une montée de star en cambrant exagérément et en prenant soin de ne pas trébucher avec mes hauts talons. Mon cul bombait effrontément comme un gladiateur bombe le torse devant son lion. Je tournais à gauche à la recherche de mes toilettes et arpentais le large couloir lorsqu’en face de moi j’aperçu le chef de corps et son second arriver dans ma direction. Le colonel et le lieutenant-colonel venaient de quitter un groupe de visiteurs et me regardèrent surpris.

 

« Bonjour madame, que faites-vous seule dans ces locaux alors que la visite doit être accompagnée ?

« Je cherchais des toilettes et je me suis un peu perdue. Maintenant que vous êtes là je suis rassurée. J’avais peur de tomber sur un commando de votre régiment et de ne pouvoir résister. Je blague Colonel ! Ayant été affectée dans ce régiment pendant mes classes je voulais me ressourcer de ces odeurs d’hommes, ces parquets cirés, ce cuir des rangers, des treillis, de la bonne odeur des chemises parfaitement ajustées avec des plis à couper le souffle. D’ailleurs puis je me permettre de sentir la vôtre et celle de votre adjoint pour me rappeler ma jeunesse.

Sans attendre sa réponse je me penchais dans son cou pour humer le col de sa chemise et mes lèvres effleurèrent ses oreilles laissant glisser un soupir de plaisir qui ne manqua pas de l’éveiller.

« D’abord madame, sauf erreur et sans vouloir ôter du crédit à votre endroit vous cherchez les toilettes dames alors que vous devriez cherchez celles des hommes. Mais puisque vous y tenez tant, permettez nous de vous faire visiter la caserne. Je vous en prie passez devant nous !

 

Nous marchâmes dans tout le bâtiment et je sentais 2 regards plaqués sur mon déhanché. Je ne prenais aucune retenue pour les aguicher et mes fesses s’en allaient de droite à gauche au risque de déclencher chez eux des réactions « cul tanées ». Je sentais d’ailleurs dans le timbre de leur voix que ma plastique de bourgeoise en chaleur leur faisait monter la température à une période de l’année ou la clim aurait été plus appropriée. J’entendais dans le bâtiment pratiquement vide l’écho de mes pas attaquant le sol du talon comme ils nous le disaient si bien à l’époque. Mes sandales donnaient le tempo au commando que nous composions désormais et je voulais me spécialiser dans les combats corps à corps.

Ils m’invitèrent à gagner l’étage en les précédants. Je pris plaisir à monter les marches lentement et précieusement comme une star. Je savais que la fermeture éclair de ma jupe, bien centrée, marquait la séparation de mes fesses et j’avais le sentiment qu’elle montait et descendait régulièrement comme si des yeux coquins se posaient sur elle et agissaient sur l’ouverture et la fermeture. Je commentais la visite comme à l’époque de mon service militaire, le colonel et le second ayant depuis quelques minutes la salive au bord des lèvres. Je fis exprès d’échapper mon sac à mains et me penchait prestement pour le ramasser offrant à la vue mon string dont la ficelle était depuis quelques minutes en surtension. Les deux militaires s’aperçurent que je portais des bas et m’en firent la remarque.

« Bravo madame, vous êtes l’élégance personnalisée et vivre avec vous doit être un vrai bonheur. Votre tenue laisse entendre que vous aimez être féminine et votre conjoint doit se régaler. Si seulement ma bourgeoise pouvait troquer sa robe longue à fleurs de mémé contre votre tenue de parade. Vous êtes une Générale aux multiples étoiles (dans nos yeux).

Nous arrivâmes en haut de l escalier et je fus invitée à gagner le bureau du colonel qui jouxtait le salon d’honneur. Dans ce dernier on apercevait une grande table en bois qui luisait comme un diamant serti dans son écrin. Je m’avançais vers celle-ci tout en racontant mes souvenirs d’antan. J’entendis la porte se refermer derrière nous et un bruit de serrure qu’on verrouillait.

En me retournant je vis que le colonel retirait sa cravate et déboutonnait les premiers boutons de sa chemise de cérémonie. Son adjoint n’était pas en reste et la ceinture de son pantalon était déjà défaite. Ils avaient du se concerter dans l’escalier. Moi qui ne voulais « queue visiter » me retrouvait devant un combat qui me paraissait inégal mais auquel je ne renonçait pas. Je vins glisser mes mains sur le torse du colonel et caresser sa douce et courte toison de poils. J’en profitais pour agacer ses seins sous la chemise tout en mordillant ses oreilles. Il n’allait pas capituler si vite mais au moins je prenais l’avantage. Son second s’empressa de passer derrière moi et me plaqua son bas ventre contre la fermeture éclair qui résistait encore mais pour combien de temps. Ses mains courraient sur mes hanches en épousant les formes généreuses de mes fesses. Elles descendirent le long de ma jupe et de mes jambes pour s’arrêter à mes talons. Je sentis le gars m’embrasser les pieds, les caresser, sentir le cuir des sandales et aspirer le pouce de mon pied droit. Il était en extase devant mes chaussures et au bout de quelques minutes je le repoussais en appuyant mes talons sur son torse. J’avais besoin de frotter ma cuisse contre celles du Colonel. Place au plus gradé. J’attrapais son cou et l’attirais vers moi pour lui délivrer un baiser des plus appuyé. Ma langue jonglait avec la sienne comme un sabre d’officier devant une bouteille de champagne. Je sabrais son envie de poursuivre en retirant ma langue de sa bouche pour aller la mélanger avec celle de son subordonné. Nous étions enlacés tous les 3 dans une attaque corps ordonnés. Aucune brèche pour le moment dans le front. Chacun conservait ses positions même si quelques faiblesses étaient apparues.

 

Le colonel à son tour se fit plus entreprenant et il dégrafa mon corsage pour aller sucer de ses lèvres la pointe de mes seins. Il prenait un malin plaisir à titiller cet endroit très sensible et mes contorsions ne faisaient que l’exciter. Ma main maintenait une pression derrière sa nuque pour qu’il ne s’échappe pas. Quand on fait un prisonnier il faut le surveiller. Pendant ce temps je sentais ma jupe se remonter doucement jusqu’à la taille. Le coquin avait couvert mes jambes et mes cuisses de baisers doux et se trouvait maintenant face à deux lobes appétissants. Il fit mine de refuser le combat mais la ficelle était trop grosse. Celle du string l’était moins et il y insinua une langue à tête chercheuse, une vraie bombe à retardement. Elle mouillait abondamment mon œillet qui s’entrouvrait sous les coups. Je prenais à pleines mains mes fesses pour les écarter et laisser plus libre encore l’accès à la zone protégée. Cette langue charnue glissait partout alors même que je subissais une attaque frontale en règle. Le colonel ayant constaté que la jupe était relevée et le string écarté s’était emparé de mon clito et le suçait goulûment entre ses lèvres affamées. Il avait pris le relais de mes mains et écartait mes fesses pour aider son adjoint à organiser une percée. Ils cherchaient sans doute un contact visuel qu’ils n’obtinrent pas.

 

J’étais encerclée du bassin et tout en laissant faire j’envisageais malgré tout un sursaut de combativité. Je relevais vivement le Colonel et le poussait sur la table avant de me mettre accroupie devant lui pour arracher les boutons de sa braguette. Au diable la tenue de cérémonie, il me fallait assister à la levée des couleurs. Le mat qui se dressait devant moi n’était pas en échec. Avec ses deux bourses pleines il pavoisait sans pudeur à hauteur de mes yeux. Respectant la hiérarchie je suçais en premier le plus haut gradé. Il tapait des mains sur la table tant la pipe que je lui prodiguais semblait le prendre aux tripes. Son bassin montait et descendait dans ma bouche comme dans celui d’une vierge. Il gémissait sans retenue pendant que son second qui n’avait plus l’accès aisé avec sa langue sur mon anus se relevait. Il vint plaquer à son tour sa queue turgescente sur mes fesses après avoir craché dans la fente pour la lubrifier. Il avait saisi mon bassin fermement entre ses mains et poussait fort pour me sodomiser. Je sentais un sexe dur, que dis je, un pointeau s’emparer progressivement de ma chambre de tir alors même que ma bouche ne pouvait exprimer son refus, occupée à sucer avec gourmandise un pieu qui ne demandait que ça. Quand la chambre de tir fut entièrement envahit il lima la culasse en mouvements réguliers. On voyait toutes les connaissances du militaire en matière d’armement s’exprimer. Il me donnait bcp de plaisirs et je poussais le colonel sur le côté pour m’affaisser sur la table cirée, les fesses offertes à mon assaillant subalterne. J’étais de travers sur la table qui glissait et mon visage pendait sur le côté. Le colonel qui ne capitulait pas m’offrit son sexe bien en bouche. Son canon n’était pas vide, deux belles ogives bien pleines ne demandaient qu’à tirer sans sommation. IL prit mon visage entre ses mains et s’en servit comme d’une chatte en manque de cul. Je sentais son gland taper ma glotte régulièrement. Comme de bons militaires habitués à marcher au pas les deux soldats me baisaient en cadence…l’un s’enfonçant dans mon cul alors que l’autre se retirait de ma bouche et vice versa.

 

Cela faisait 10 minutes que je me faisais baiser comme une pute, les salauds ayant sorti un répertoire d’insultes à mon endroit. Je n’étais qu’une pute en chaleur prête à tous les sacrifices pour sauver la patrie. Une grosse salope à baiser et à donner en pature aux régiment. J’étais à deux doigts de demander une armistice lorsqu’ils  ralentirent leurs assauts. J’en profitais pour me dégager délicatement et me coucher sur le dos. Je plaçais mes jambes sur les épaules du colonel qui voulait à son tour visiter la chambre de combustion. Je serrais mes cuisses sur ses joues et ses oreilles tandis qu’il me possédait glorieusement. Il avait ordonné à son lieutenant de chevaucher mon visage et de m’introduire sa queue dans la bouche. Un ordre est un ordre. Il s’exécuta dans ma gorge. Un officier supérieur me baisait sur la table alors que seuls les couverts étaient sortis, son adjoint m’offrant bientôt l’apéro laiteux que j’attendais avec impatience.

 

Le colonel en profitait pour me masturber au rythme de ses mouvements de bassin dans le mien. J’avais une forte érection et j’avais hâte d’exploser car je savais déjà que la bataille était perdue. Je ne voyais plus rien étouffée par le Lieutenant-colonel qui m’avait coincé entre ses cuisses et me faisait une prise bucco-génitale de toute beauté. Il avait pris la mesure de ma gorge et s’enfonçait juste assez pour ne pas m’écœurer mais suffisamment pour me faire apprécier son mat protocolaire. Comme un chant partisan j’eu le sentiment que mes assaillants n’en étaient pas à leur première répétition ! En effet, je sentis l’harmonie entre eux dans la montée de leur jouissance, les gémissements, les plaintes étouffées bien coordonnées. Lorsque vint le refrain il entamèrent ensemble un cri jouissif qui coïncida avec le jet qui inonda de sperme mes reins brûlants et ma bouche de bourgeoise en folie. Je pompais plus avidement encore ce sexe envahissant en tirant sur le gland pour lui faire rendre sa dernière goutte. Au moment même ou le colonel exprimait sa sympathique plainte de plaisir mon jus qui frappait à la porte de sortie depuis quelques minutes surgit sans prévenir sur mon ventre et dans les mains du branleur qui s’empressa de toute récolter pour l’avaler. Il se retira délicatement et se pencha sur mon sexe pour tout essuyer avec sa bouche, profitant de l’occasion pour avaler quelques secondes mes couilles vides.

 

Lorsque nous reprîmes nos esprits la cérémonie protocolaire, la vraie, la montée des couleurs étaient imminente.

Mes deux soldats prirent congé de moi non sans m’avoir décerné une médaille commémorative qu’ils piquèrent sur le petit morceau de string qui cachait mon clito. Je pouvais à mon tour parader sur la place d’armes. Ils refusèrent prétextant qu’il était nécessaire de posséder au moins 5 décorations avant de défiler. Rendez-vous fut aussitôt pris pour d’autres cérémonies. J’avançais l’idée de booster ma promotion en soulageant le régiment dans son ensemble. Avais je les yeux plus grands que le cul ?

 


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  • ilestelle47 (Candice47 - travestie)
  • Travesti occasionnel, 56 ans, marié, entretenu, rencontre en semaine (HB 13/17 à l'hôtel sur Agen que vous payez) et/ou en clubs/saunas libertins certains soirs dans la semaine. Aucun plan en urgence, prise de contact obligatoire bien avant la dat

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