Mercredi 16 décembre 3 16 /12 /Déc 03:26

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A cette époque j'avais à peine seize ans. Mon papa, en hospitalisation longue durée à plus de 300 kilomètres du domicile familial, attendait avec impatience la fin de semaine pour profiter de notre visite. Nous partions en fin de matinée le samedi pour être à 15h auprès de lui.
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Le samedi matin quand je partais tranquillement en classe, mille envies se bousculaient dans ma tête. Je savais comment mes deux jours de liberté allaient être occupés. Bien souvent, avant de rentrer, je passais au supermarché pour m'acheter une paire ou deux de collants. Cette action somme toute banale me mettait dans un émoi indescriptible. J'imaginais tous les scénarios pour que cet achat soit le plus discret possible mais j'avais invariablement une érection qui s'emparait de moi à ce moment. L'interdit, l'audace de faire m'excitaient comme une puce. J'en serais presque arrivée à me branler dans une cabine tellement l'envie était forte de me soulager les tensions intérieures.

En rentrant chez moi même si je devais être seule 48 heures je vérifiais méthodiquement l'absence de tout proche. Je passais dans toutes les pièces pour terminer par la chambre de ma soeur. Dans celle-ci je me débarrassais prestement de mes affaires de mec pour devenir Candice.

Nue comme un nouveau né je fouillais dans le tiroir intégré où je m'emparais d'une culotte en nylon bleue bordée de fines dentelles. Bien que consciente que la lessive avait éliminé toutes effluves je ne pouvais m'empêcher d'humer le fond de la culotte pour y chercher d'infimes traces érotiques. J'avais déjà le clito qui s'emballait au rythme des battements de mon coeur. 

J'enfilais cette dernière et me penchait sur un corset assorti auquel j'appliquais le même cérémonial. Ainsi vêtue je me sentais un brin calmée.
Une petite combinaison fine aux bord dentelés vint recouvrir mon corps. A cette époque, vers 1976, ce style vêtement était fréquent. Les filles et les femmes en mettaient sous leurs robes pour atténuer l'électricité statiques. Dans mes souvenirs de jeunesse je ressens encore cette douce caresse de ce tissu fabuleux sur mon corps dénudé. Mon clito marquait une bosse sous la nuisette. 

Mes collants neufs vinrent recouvrir mes jambes blanches soudain ambrées comme une bière de printemps. Mon corps épilé me permettait de vivre ma féminité au complet. 

Dans le garde robe j'empruntais une jupe bleu nuit plissée d'une sensualité féminine à couper le souffle. Quand je voyais ma soeur la porter je la jalousais à tel point que je souhaitais qu'elle la salisse rapidement pour pouvoir l'essayer en cachette dans la salle de bains lorsqu'elle serait déposée dans le coffre à linge.
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J'enfilais cette magnifique jupe et prenais dans le meuble à chaussures de beaux escarpins bruns à hauts talons. Je n'avais pas les moyens de me payer de belles chaussures et la chance avait voulu que ma soeur s'en procure une paire qu'elle ne mettait que très rarement. Je les avaient déjà essayées et elles m'allaient à merveille. Une fois enfilées je marchais ensuite jusqu'à la salle de bains pour me maquiller, enfiler une perruque de mannequin et finaliser ma transformation. J'étais enfin une FEMME et je m'appelais CANDICE. 


J'en profitais alors pour envahir la totalité des 200 M2 de la maison. Aller à la cave, vérifier que le chat avait des croquettes, remonter les marches (mon festival de Cannes) pour aller au 1er.....me pencher à la fenêtre de la chambre mansardée avec la peur et l'envie de me faire voir. Le cul offert à un éventuel amant qui se serait introduit dans la chambre, qui se serait introduit en moi, je comptais les autos qui passaient dans la rue sans me voir. J'agitais mon string à leur passage et provoquait un infime ralentissement alors que la  circulation de mon sang s’accélérait  inversement proportionné.

J'en étais à préparer mon repas du soir avec un tablier de soubrette pour protéger mes fringues propres, lorsque la sonnerie principale retentit. La lumière de la cuisine allumée, la porte donnant sur le salon tirée de moitié et les volets encore relevés, il était évident que la personne qui se présentait sur le perron pouvait constater que la maison était occupée. Que faire, comment réagir, quelle attitude adopter alors que je devais être seule, sans aucun dérangement pendant tout mon week-end. Prenant mon courage à deux mains je décidais d'affronter le "danger" avec l'aplomb d'une grande. Faire comme si de rien n'était, accueillir l’intrus ou l'intruse avec la certitude d'être dans mon bon droit. 

Je m'avançais d'une démarche assurée vers le point d'impact. Les hauts talons chaloupaient mon cul  comme un métronome. Ma musique intérieure jouait une symphonie inachevée comme si j'avais écrit les premières notes sans savoir ni où ni avec qui elles se marieraient. 

Encore quelques instants avant la confrontation imprévue. Qui était-ce ? Que me voulait-on à cette heure ? Qu'allais je raconter et qu'allait-il arriver ?

Lorsque la porte fut entrouverte je découvris le visage souriant de mon voisin immédiat. Un homme d'une cinquantaine d'années ayant encore belle allure qui entretenait avec nous une relation de bon voisinage. Il m'expliqua qu'il avait observé la présence d'une fille à la fenêtre et sachant qu'en principe la maison devait être vide ou éventuellement occupée par moi-même il s'inquiétait de la présence d'une intruse. Sa façon de présenter la chose paraissait plausible mais son regard mentait. Je présumais que monsieur avait constaté la transformation depuis chez lui et qu'il venait juste l'apprécier de plus près.

Alors que je bredouillais quelques explications sorties de mon chapeau, le téléphone sonna dans le salon. Après avoir refermé la porte je demandais à mon voisin de patienter quelques instants dans le hall d'entrée pendant que j'allais répondre à l'appel. 

Je reconnu au bout du fil un camarade de classe qui souhaitait passer me voir. J'allais l'inviter à reporter sa visite lorsque je senti deux mains se saisir de mes fesses. Mon voisin impatient de découvrir sa nouvelle voisine n'avait pas attendu longtemps dans le hall d'entrée avant de me rejoindre. L'oreille sur le combiné, je sentis le souffle chaud de monsieur dans mon cou et une protubérance dans son falzar m'expliquait sans beaucoup de dialogue ses véritables intentions. Je bafouillais une excuse à mon camarade qui à l'autre bout du fil semblait insistant et incrédule. 

Mon voisin m'arracha le combiné des mains et raccrocha sans que je puisse terminer la conversation et m assurer que mon camarade ne se pointe à mon domicile alors que je ne le souhaitais pas. 

D'une main ferme il bâillonna ma bouche et d'une autre m'entraîna vers la chambre de ma soeur. J'avais les jambes qui jouaient les castagnettes et je marchais avec mes talons comme un équilibriste sur une corde raide. La chambre de ma soeur avec ces grands murs tapissés, ses meubles en bois en chêne massif et son lit 240 nous vit surgir de nulle part et l'envahir. Je fus jetée sur le lit à plat ventre tandis que mon "agresseur" soulevait ma jupe bleue pour mieux admirer mes dessous. 

Un  sursaut de dignité me permis de m'emparer d'un téléphone portable qui trainait à proximité. J'appelais aussitôt le domicile de mon agresseur où sa femme décrocha rapidement. 

"Bonsoir Madame je suis.......... J'allais me présenter à elle lorsque son époux qui avait attrapé au passage la seconde paire de collant me bâillonna  pour empêcher tout dialogue et faciliter ses attouchements. 
J'insistais en hurlant "vôoooootre voi........." lorsqu'avec une vieille paire de collants usagés attrapés sur la table de nuit il me ligota les mains dans le dos avant de couper le combiné définitivement.
Il avait descendu mon string bleu ainsi que mes collants jusqu'à mi fesses et ses doigts préalablement humidifié à la salive vinrent heurter ma rondelle.Il s'empressa de faire vibrer son doigt comme un jouet érotique sur l'anneau rose et sans le vouloir mes jambes s'écartèrent doucement. Sa fouille intime se précisa lorsqu'il appliqua un peu plus de salive sur son doigt et me l'enfila d'un coup assez sec dans l'anus. Il fit un arc de cercle régulier dans mon trou comme s'il cherchait à me dilater. Il y arrivait très bien d'ailleurs et je cambrais un peu le bassin pour l'aider à la tâche. Je gémissais d'un cri étouffé dans le collant qui m'empêchait toujours de m exprimer.
Je n'arrivais pas à me défaire des liens lorsque je senti sa belle verge se poser dans le creux que formaient mes mains ligotées. Il coulissa sa queue dans celles-ci que je m'empressais de refermer pour bien mesurer l'ampleur de son excitation. Elle devait bien mesurer 18 cms sur 5 ou 6 d'épaisseur. Elle allait et venait dans la paume de mes mains comme le prélude à une agression à venir. 
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Il se retira de cette caresse et vint précipitamment placer son gland devant l'entrée. Sans sonner il poussa la porte et introduisit ses 18 cms lentement mais surement. J'étais possédée pour la première fois et ça ne se déroulait pas comme je l avais imaginé. Néanmoins je compris assez  vite que les présentations n'allaient pas s'arrêter là. De longs déhanchements dans mes reins n'eurent aucune peine à me combler d'aise. Un mince filet de liquide séminal suintait sur la verge qui entrait et sortait de mes reins. J'apercevais celle-ci à interval régulier dans la glace de la commode. Je venais de m'offrir à lui, abandonnant  ma virginité au seuil de ma majorité.

Il continua son mouvement que j admirais dans le miroir comme on observe un film au ralenti. Mes reins se cambraient pour sentir ses couilles venir frapper les miennes. La bouche bâillonnée par le collant il consenti enfin à me défaire ce lien. Je plongeais les dents dans l'oreiller pour mieux montrer que j'appréciais le plaisir de pouvoir geindre en toute liberté pendant qu'il me limait la chatte avec délicatesse. Son souffle chaud s'était approché de moi et je ressentais la chaleur de son torse venir s'appuyer par moment sur mes épaules. 

Ma bouche libérée ne le fut pas bien longtemps. Il se retira de ma chatte soigneusement préparée et vierge de toute impureté et présenta sa queue sur mes lèvres que je m'empressais d'avaler. Une petite odeur, un goût bien intime s'empara de mes sens. Je suçais le reste de mon intimité qui s'était agrippé aux parois de sa bite lorsqu'il avait abandonné mon cul. Tandis qu'il me limait maintenant la bouche avec la même régularité que les horaires d'un avion de ligne il tira sur les liens du poignet et vint nouer ceux-ci au montant du lit. A califourchon au dessus de mon visage il imprimait un va et vient lancinant comme  un acte d'amour à une chatte féminine. Son bassin allait et venait devant mes yeux tandis que sa queue possédait mes lèvres et tout ma cavité buccale sans que je n'ai envie de me regimber. 

Je passais ma langue sur ses couilles à chaque fois qu'elles venaient échouer sur ma bouche. Visiblement il adorait cette pratique et en redemandait. Content de sa position dominante il n'entendit pas le carillon de la porte d 'entrée. A mon grand regret j'allais lâcher sa queue pour lui faire remarquer lorsque la sonnerie retentit une seconde fois avec insistance. Il retira lentement sa queue....centimètres par centimètres pour s'assurer que je n allais pas crier, je profitais de la déguster millimètres par millimètres avant qu'elle ne m'échappe.

- "Sais tu qui pourrais bien venir à cette heure ?"
- "Cela ne peut être que mon camarade de classe auquel j'ai raccroché au nez tout à l'heure. Il souhaitait me voir et je n'ai pas eu le temps de l'en dissuader."
- "Tu vas pouvoir t'excuser de vive voix je vais aller l'accueillir et lui montrer dans quel état tu te trouves"
- "Ne fais pas ça s'il te plaît !!! s'iiiiiiiiiillll te plaîîîîît !!!

Je n'avais pas fini de prononcer ma phrase que déjà je l'entendais tourner la clé pour déverrouiller la porte d'entrée et accueillir le visiteur. 
Entre mon garçon entendis je dans le chambranle de porte. 
Voici ce que fait ton copain quand il est seul. Il joue la petite dévergondée devant mes fenêtres et il croit que je vais rester de marbre et impassible. Je suis venu lui donner le compte qu'il cherchait et j'espère bien t'en faire profiter un peu. Quand il se travestit c'est une vraie garce comme elle vient de me le démontrer et elle va te sucer la bite comme une bonne salope si elle ne veut pas une petite fessée.

Approches toi d'elle, sors ta queue à hauteur de son visage et caresse lui avec, fais lui sentir la bonne odeur de chair fraîche.

D'abord hésitant mon ami s'approcha doucement du lit. Il débraguettait son pantalon et sorti une belle queue moitié rigide de taille raisonnable. Il plaça son gland sur mes lèvres et attendit une réaction de ma part. Une petite claque sur mes fesses m'indiqua que je devais m'en occuper.

Mes lèvres firent des bisous partout sur le gland, mon nez vint humer cette odeur si particulière des mâles en chaleur. Mes lèvres revinrent gouter à cette peau douce et dure à la fois. Le gland eut vite fait de disparaitre dans ma bouche et je le pompais goulûment une bonne minute pour prévenir sa sève que le travail de sape avait commencé.
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Les mains toujours ligotées je n avais que ma langue pour attraper sa queue lorsqu'elle m'échappait. Je la passais sous le gland pour l enrouler autour avant de l'approcher de mes lèvres et aspirer comme une ventouse. Collée à ma bouche il ne restait plus qu'à ouvrir en gobant. Ma langue pouvait ensuite s'amuser avec le joujou emprisonné. Mon camarade aussi lisse qu'un oeuf du jour se retourna et offrit à ma langue sa rondelle à laquelle je fis une feuille de rose de toute beauté.
Alors que je croquais ses fesses bien rebondies, mon voisin s'amusait avec mon clito qu'il gratifiait d'une fellation de première classe. Enfin un amant qui me parlait intimement avec le talent d'un spécialiste. Il suçait comme un Dieu. Il agissait comme un enfant privé de glace pendant toute son enfance et qui avait mémorisé les gestes de ses petits camarades devant la leurs s'efforçant de canaliser la crème pour qu'elle ne s'échappe pas trop vite du cornet.
Sa langue onctueuse établissait une cartographie exacte de mon clito, s'attardant sur mon gland épais avec lequel elle jouait une partition insolite. Elle le lapait de bas en haut avant d'administrer des petites vibrations de la pointe en fouillant l'entrée de mon urètre. Je laissais d'autant faire que mes deux agresseurs s'étaient partagés mes tétons sur lesquels ils distillaient des effleurements d'une grande délicatesse.
Mon clito était dur comme un diamant brut. Il luisait sous l'abondante salive qu'avait laissé le dernier convive.

Sans me laisser le temps de réagir, je fus retournée sur le ventre offrant aux observateurs ma face B. Appuyant son dos sur le montant de lit pour prendre toutes ses aises mon vicieux voisin vint s'installer devant mon visage. Il s'assit de manière à présenter sa queue turgescente à ma bouche experte. Sans me faire prier je m'étais attelée à la tâche lorsque mon camarade de classe me gratifia d'un jet salivaire entre les fesses. De ses doigts longs effilés il caressa mon anus et s'aventura à m'en introduire deux très doucement afin de dilater la chatte qui n'attendait qu'une bite. 
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Quelques minutes de caresses sous le feu de l'excitation qui permirent à mon trou de s'éveiller et de s'épanouir. Les doigts allaient et venaient tranquillement et chaque mouvement élargissait les perspectives d'introduction d'une intruse bien plus conséquente. Pour l'avoir sucée juste avant je savais que cette queue qui allait me posséder n'était pas d'un petit calibre. Elle avait emplit ma bouche majestueusement et allait s'emparer de mes fesses avec la même grâce qu'un aigle fondant sur sa proie. 

Toute préoccupée à l'invasion de mes reins et au déroulement de la manoeuvre je délaissais un peu mon voisin qui s'empressa de me remettre dans le droit chemin. Une gorge profonde imposée en maintenant ma tête sur sa queue m'empêcha du même coup de gémir lorsque mon camarade de classe introduisit ses 19 cms/6 dans mon c'anal. Je sentais ses bourses venir frôler les miennes mais rien ne pouvait s'échapper de ma gorge occupée dans son intégralité.

Quand il fut bien au fond il entreprit un mouvement circulaire afin d'élargir un peu plus l'espace dédié à sa queue. Mes fesses saisies par ses mains absorbaient le choc avec gourmandise. 19 centimètres de bonheur me retournaient comme une chienne. Je me sentais pute et n'en espérait pas tant. 

Petite salope, prends toi ça ! Tu aimes les queues bien dures, régales toi !
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Mon camarade accompagna ses propos de claques sur les fesses qui ne me laissaient pas indifférentes. J'hoquetais sous les coups, la bite du voisin me tapant l’épiglotte à chaque avancée des assauts de mon baiseur tandis que mon anus rougit par les allers retours progressifs, ressemblait à une cheminée léchée par les flammes. Ses lèvres froncées s"étaient écartées et humidifiées de plaisir. Les plis ressemblaient à des lèvres tendues pour un doux baiser d'amoureux. A ce doux baiser répondait une bite qui revenait à la charge pour m'enculer plus profondément que la fois précédente. J'étais leur chose, leur petite femelle chaude et accueillante, leur jouet érotique et je me faisais exploser le cul tout autant que je m'éclatais.

Une main sur une épaule et l'autre sur ma nuque j'étais assaillie par la jeunesse. Il avait un coup de rein à faire pâlir certains quinquagénaires censés être plus expérimentés. Il tirait mon corps pour m'obliger à reculer et m'empaler sur sa verge raide comme un passe lacet tout en poussant sur ma nuque pour me faire bouffer en totalité la queue de son comparse d'un soir. J'avalais mon voisin jusqu'aux couilles et quelques poils oubliés venaient me chatouiller les narines. J'étais une proie facile et je ne cherchais pas à m'enfuir, au contraire.

Se lassant de la levrette mon camarade libéra mes poignets et me mis en position missionnaire. 

Il souleva mes jambes gainées de collants ambrés, me fit remettre ce dernier qui pendait toujours sous les fesses. A peine réajusté il déchira des dents la partie obstruant mon intimité et vint y glisser son gros gland violacé pour me sodomiser énergiquement. 

Sans un cri je subissais ce qui semblait être l'ultime assaut, le baroud d'honneur, la charge explosive. Le voisin assis sur mon visage avait glissé ses couilles et sa queue dans ma gueule devenue grande. Je subissais un violent outrage commun mais je ne me sentais nullement offensée. Je méritais ma punition et je l'acceptais avec le secret espoir qu'elle durasse longtemps encore. 

Je sentis dans mon anus dilaté une transformation de la queue introduite. Elle présentait une excroissance qui n'existait pas tout à l'heure. Une veine chargée d'envie avait modifié la forme du sexe et je pressentais un feu d'artifice proche à se dévoiler. J'ondulais du bassin pour l'aider à venir tandis que mes mains poussaient sur les fesses de mon voisin pour attirer ses couilles plus à moi encore. 

J'entendis comme un grondement éloigné, un orage au loin qui s'approche. Un vrombissement démarra dans le corps de mon amant du jour, couvert tout d'abord par le grincement du lit, il s'amplifia lentement comme le bruit d'une cascade qu'on approche avant d'exploser comme une fureur qu'on ne retient plus. Il cria son plaisir sans interruption pendant une bonne minute. Mon voisin excité par ses râles ne pu à son tour se retenir.....deux giclées bien au fond de la gorge comme un sirop contre la toux, un baume chaud et onctueux pour soigner les blessures, avant de sortir sa queue et se branler au dessus de mon visage qui ramassait grave. Adieu le maquillage qui allait perdre toute son allure. Mes narines et mes lèvres eurent leur lot de sperme tant son éjaculation, malgré son âge avancé, était encore abondante. 

Je me remettais doucement de mes émotions lorsqu'une main vint saisir la mienne et la posa sur mon clito. Je fus invitée à me faire jouir devant mes partenaires. Alors que je commençais à me branler, une langue douce vint nettoyer mon orifice. Mon camarade posait un oeil curieux sur ma masturbation tout en me lèchant l'anus qu'il venait de souiller.

Je me masturbais depuis quelques minutes et j'avais demandé à mon voisin d'occuper ma bouche avec sa queue encore mollassonne. Quelques pompes bien appuyées, un jeu de langue sur son gland et elle reprit un peu de vigueur ce qui ne fut pas pour me déplaire. 

J'invitais mes partenaires à m'insulter gentiment pour m'exciter et accélérer ma jouissance.  Petite pute, dévergondée, petite salope et maintes mots salaces vinrent caresser mes oreilles avec bonheur. Je senti tout à coup une légère secousse de plaisir dans mon orteil qui remonta au pas de charge le long de ma jambe et vint s'écraser dans ma poitrine. Je m'emparais aussitôt des fesses du voisin pour les attirer à moi et ainsi avaler sa queue au plus profond de ma bouche. En même temps que j'explosais mon plaisir aux yeux du monde je bouffais sa verge comme une affamée. Je pompais et pompais encore alors que mon camarade venait de s'emparer de mon clito pour ne pas laisser mon nectar se perdre dans les draps. Il léchait mon gland de longues minutes ne laissant rien s'échapper avant de retourner sur mon petit trou lui appliquer un doux câlin me permettant ainsi de décompresser lentement. J'avais joui intensément et personne ne pouvait douter de la générosité avec laquelle j'opérais pour satisfaire mes amants et moi même à l'occasion.
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Mon voisin avait repris vigueur sous mes caresses buccales mais il du nous abandonner pour rejoindre son épouse. Mon camarade et moi même restèrent à jouer toute la nuit d'autres  partitions. Nous étions jeunes et forts, le monde nous appartenait.Candice-16-09-2015-275_31.JPG

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  • ilestelle47 (Candice47 - travestie)
  • Travesti occasionnel, 56 ans, marié, entretenu, rencontre en semaine (HB 13/17 à l'hôtel sur Agen que vous payez) et/ou en clubs/saunas libertins certains soirs dans la semaine. Aucun plan en urgence, prise de contact obligatoire bien avant la dat

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