ilestelle47 (Candice47 - travestie)
Avec mon escadron j'avais été désignée pour une mission de maintien de l'ordre en Nouvelle Calédonie. Durée de déplacement prévue de 4 mois. Nous devions rester sur Nouméa et nos femmes, comme à l habitude, ne pouvaient nous suivre.
Puisque j 'étais quasiment travesti je proposais à mes camarades de jeux d'aller me maquiller pour accentuer le côté féminin et pousser le vice à son paroxisme. Ces derniers acceptèrent avec entrain, plus tentés de voir une demie femme qu'une moitié d'homme. Je me précipitais discrètement dans la salle de douches communes pour aller peaufiner mon maquillage. Je soignais particulièrement ce dernier car j'avais dans la tête de séduire mes collègues et jouer avec eux à autre chose qu'aux cartes. Ils me rappelaient mes soirées multis mecs chez un amant de Toulouse et l'abstinence du séjour ne faisait qu'accentuer mes envies de queues. Rimmel sur les yeux, liner pour mettre en valeur mes yeux bleus, fond de teint pour masquer la barbe rasée au plus près, rouge à lèvres carmin pour mettre aux futurs pompiers des galons promotionnels. J'enfilais une perruque longue blonde dont les cheveux synthétiques tombaient sur les bretelles de la nuisette noire transparente que j'avais gagnée en perdant. Perchée sur mes hauts talons noirs de 14 cms, la bride de cheville bien fermée, j'allais regagner la chambrée lorsque j'entendis, dans le couloir, les bruits de pas qui semblaient se diriger vers les douches. Je ma cachais aussitôt dans une des toilettes de la pièce en soulevant mes échasses pour ne pas agresser le regard d'un éventuel observateur.
La bite de mon amant de l'instant se cognait sur mon menton et j en profitait pour la frotter sur mes joues, mes yeux, mon nez. J'humais ce parfum qui m'avait fait défaut depuis plus de quinze jours. Je décelais dans ses effluves une odeur de sperme chaud qui bouillonnait loin derrière le prépuce mais qui remontait par les canalisations en état de surchauffe. Je déposais de doux baisers sur ce gland en fixant mon lieutenant droit dans les yeux. Il était au garde à vous sans que j'ai eu besoin d'en donner l'ordre. Pour une fois qu'un supérieur s'exécutait à la vue d'un subordonné. Je me relevais en prenant la main du lieutenant et l'invitait à me suivre dans la chambrée qui devait s'impatienter de mon retour. Main dans la main j'entrais dans la pièce. Chacun avait pris ses aises et je découvrais mes amis nus comme des vers. Tous les acteurs avaient perdu aux cartes ou mes camarades s'étaient préparés à abuser de mon corps sans aucune retenue. Tout cela ne pouvait que me réjouir. J'ondulais des fesses en accentuant ma démarche féline. Elles oscillaient de droite à gauche sous l'oeil attentif de mes partenaires. Ils me demandèrent de déambuler à plusieurs reprises devant eux. Je ne me fis pas prier. Ma nuisette noire transparente laissait deviner mon porte jarretelles et mes bas assortis. Sur mes hauts talons mes petits seins inoffensifs balbutiaient de désir et les têtons se frottaient avec gourmandise sur le tissu qui depuis ma plus jeune enfance m'électrisait. Sans s’énerver plus que de raison mon clito avait pris du volume et tentait de s'émanciper du string.
Je sentis que mon adjudant s'énervait un peu entre mes reins et pour calmer ses ardeurs je décidais de me retirer. Mon anus se libéra de cette emprise à l'image d'une banane qu'on pèle....Appuyée sur mes talons je remontais lentement de façon à décalotter le gland qui ne demandait qu'à reprendre son souffle. Aussitôt sorti de son habitacle je plongeais la bouche grande ouverte dessus en abandonnant mon cul aux autres spectateurs. Je me délectais de mon odeur de foutre qui parfumait cette queue bien dure après m'avoir possèdé longuement. Je la suçais alors qu'elle avait visité mes entrailles vidées de toute impureté mais dont mes effluves personnelles enivrantes me tétanisaient de plaisir. Derrière moi des queues se frottaient sur mes fesses. Les joueurs piaffaient d'impatience face à un dilemme à résoudre. Qui entrerait le premier. Un gland bien épais se posa sur ma rondelle après avoir lubrifié le conduit. Une poussée lente et progressive décontracta mon sphincter qui invita cette agresseur à me posséder totalement. Je senti la colonne en progession troubler ma fellation au point de m'inciter à onduler les hanches pour favoriser la pénétration.
A hauteur d'yeux, non plus une mais deux paires de couilles ballotaient devant moi. J'en avalais une coupe tandis que d'une autre main j'entreprenais une palpation des bourses du moins rapide. Je suçais ensuite à tour de rôle les attributs de mes deux partenaires tout en fixant le troisième, orphelin de caresses, qui se masturbait à hauteur de mon ventre.
4 mecs s'occupaient de moi tandis que je n'en contentais que 3. Quelle injustice pour le punis. Qu'à cela ne tienne j'allais le privilégier en fin de séance afin de ne laisser personne sur la touche.
Pour le moment je profitais des assauts répétés des couilles des uns et des autres et mes orifices se régalaient. J'avais des soubresauts de plaisir qui inondaient mon corps, mon plaisir de sucer laissant place à une sodomie délicieuse. Le contexte d'offerte à tous m'excitait comme jamais et mon bassin imprimait un rythme sur la queue qui me possédait....à tel point qu'on ne savait pas qui possédait qui.
Les deux mecs que je suçais, n'y tenant plus, sans doute émulation de la proximité, se mirent à se branler au dessus de mon visage avec frénésie. Le léchais leurs couilles qui glissaient sur mon visage. Par moment ils s 'amusaient à glisser leurs queues sur mes joues et mes lèvres avec le bout rouge écarlate qui ne retombait pas. Je senti soudain un râle s'exprimer comme le tonnerre d'un orage qui s'approche. Le bruit remonta de ses tripes et une purée onctueuse s'échappa sans prévenir de sa bite en feu pour aller s écraser sur mon nez et mon menton.
Il fini de se vider en étalant toute sa semence sur mon visage ce qui eu pour effet de libérer le second qui cria sa rage du bonheur qui s'échappait. Un liquide chaud comme du lait sorti d'un pie de vache vint se mélanger au précédent et macula mon visage comme un masque de beauté.
Alors que je savourais cette douche de sperme je sentis les assauts sur mon bassin se précipiter à leur tour. Remontant mes jambes plus haut encore qu'elles ne l étaient déjà il poussa son sexe de belle facture au fin fond de mon cul en rugissant comme un lion qui tentait d'attraper un festin. Je sentis sa verge se contracter à plusieurs reprises tandis qu'il s'effondrait lentement sur moi appréciant l'instant jusqu'à la dernière goutte qui abandonnait son corps.
Secouée par ces moments intense mais pas encore abattue je décidais d'achever la séance en duo avec le seul mec qui n avait fait que regarder. Je le poussais sur le lit pour qu'il s allonge. Son sexe en porte drapeau avait la consistance d'un béton de deux jours. Il palpitait à un rythme cardiaque élévé ému par les scènes auxquelles il avait assisté en tant que spectateur.
Ma langue s'enroula autour de cette colonne de marbre et vint lécher le gland pour le faire briller de désir. Une goutte de sève perlait sur le prépuce et glissa sur toute la longueur de la verge. Je rattrapais cette dernière au moment même ou elle se frayait un chemin sur des bourses gonflées d'envie. Ce soir ma langue se répandit sur toute la largeur de ces boules d'amour que je vénérais.
Lentement je remontais sur le nombril, le torse que je gratifiais d'une succion des tétons qui durcirent sous mes caresses. Ils rivalisaient de fermeté avec la bite que ma main maintenait en état. Enjambant l'intéressé je me positionnais face à lui, le regard pénétrant tout autant que sa queue que j avais rapidement absorbée entre mes reins. Mon bassin ondulait déjà, un doigt posé sur les lèvres de mon amant.
Je chevauchais un cavalier qui avait patienté toute une soirée avant de me posséder. J'appuyais mon bassin fermement sur son sexe pour ne perdre aucun centimètre et d'une main je poussais ses couilles sur mon trou comme pour les y faire entrer également. Pendant ce temps j avais invité deux amants à me taquiner les seins chacun de leurs côtés et je suçais le dernier déjà ragaillardi.
Une bite en bouche et une dans le cul je décidais enfin de me gâter pour prendre mon pied et soulager mes sens. Je commençais une masturbation lente et progressive sur mon clito qui avait une forme consistante. Mes seins durs, excités en tempo par mes joueurs, mon anus dilaté par une queue énergique je montais en tension.
Quelques minutes à me branler, à gémir de plaisir, à m agiter sur cette verge gonflée de désir, à pomper cette autre toute aussi belle mon excitation n'allait pas tarder à s'exprimer ouvertement. Je lâchais quelques instant ma pipe en cours pour chercher un baiser intense avec un amant demandeur. Une grosse pelle bien baveuse avant de reprendre en bouche ma colonne vertébrale, mon pieu de maintien, ma bite d amarrage.
Je venais lentement mais surement. Mon sperme était au bord de l'explosion, accumulé dans mes bourses pleines à craquer. Désormais je m activais avec frénésie sur mon sexe quand soudain une jouissance du premier jour vient irradier mon corps dans sa totalité. J'avalais sur toute sa longueur la queue introduite dans ma bouche de manière à m'auto infliger une gorge profonde. Je pompais ferme dessus comme pour y chercher l'air qui me manquait pendant cet orgasme intense. Dans mon cul des spasmes forts et violents m'indiquèrent que je venais de faire jouir mon dernier amant.
J'avais inondé son torse et son ventre de tout mon liquide épaissi par la violence de la jouissance. En passant dans les tubes mon sperme avait pris de la consistance pour devenir crémeux comme un yaourt grec. Un invité se précipita pour lécher ce don de ma nature. Les autres poursuivirent quelques minutes encore leurs caresses, leurs douces attentions histoire de me permettre de profiter au maximum de la situation et reprendre mes esprits tranquillement.
Nous nous libérâmes des chaines qui nous entravaient encore et regagnèrent la table pour achever une partie de carte qui en appelait une autre par revanche.
Mar 16 fév 2016
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