18 ans à peine et, depuis une décennie déjà, je piquais occasionnellement les fringues de ma sœur dès que j'avais accès à sa chambre en toute tranquillité. Son
armoire n'avait plus aucun secret pour moi. C'était son nid de fille et je me servais de ses plus beaux dessous . Toute ma pré-adolescence fut bercée d'emprunts aux
relents féminins.
Plus tard, en grandissant j’eus un peu plus d'audace. Acheter des collants noirs ou un soutien gorge à dentelles et les présenter à la caissière intriguée du
supermarché n'était plus une épreuve. Au contraire je m'amusais à surprendre leurs regards coquins lorsqu'elles me rendaient la monnaie. Elles s'imaginaient peut-être
que mes copines étaient chanceuses que je leur offre un cadeau si intime.
Pour féminiser ma façon d'être une fois travestie je détaillais les femmes de bas en haut. Je m’imprégnais d'elles. Mes yeux, à cette époque et aujourd'hui encore,
se posaient en priorité sur les pieds féminins rehaussés de belles chaussures à hauts talons. Mon regard remontait toujours vers la croupe qui les portaient avant
d'aller se noyer dans les yeux de la belle ingénue. Mon exploration cheminait invariablement de la sorte.
Question vestimentaire j'avais un faible particulier pour les jupes plissées et mon regard s'attardait toujours sur les filles qui en portaient. Comme un aimant j'étais
attiré par elle sans pouvoir m'en détacher et je m'imaginais avec elle ou plus exactement à leurs places entrain de la porter.
J'avais repéré une étudiante qui en portait fréquemment. Elle habitait sur mon chemin de retour. Chaque fois que je passais devant chez elle j avais une pensé émue
et plus particulièrement lorsque je ne l avais pas aperçue dans l'établissement scolaire en cours de journée. Par beau temps, quand je longeais sa résidence je lorgnais le
fil à linge sur lequel sa maman étendait les dessous sexys de la famille. Culottes roses ou noires, string bleus ou blanc mettaient de la couleur au jardin. Les robes et
les jupes côtoyaient cet ensemble affriolant et enchantaient bien souvent ma fin d'après midi.
Un jour, en passant à proximité de l'étendoir, j’aperçu sa belle jupe plissée noire et blanche étendue au soleil encadrée sur le fil, de part et d autre, de quelques
dessous sympathiques. Pris d'une pulsion incontrôlable j'enjambais la barrière en bois pour venir caresser le tissu qui engendrait tant de fantasmes dans ma tête et qui
bousculait tant mon corps intérieur.
Je venais de poser mes mains sur l'objet de mes désirs et mon esprit m'emportait sur des fantasmes plus coquins les uns que les autres. Mon nez dans le slip étendu à côté
qui sentait bon la lessive mais que j'aurais aimé "nature" avec cette petite odeur qui vous donne envie d'humer jusqu'à plus soif. Cette odeur saine mais si intime, celle qui
donne du mouvement au corps, qui souille sans salir, qui enivre. Celle qu'on a tous un jour recherché dans un soutien gorge, sous une aisselle, dans une petite
culotte.
Mon esprit s'égarait et soudain j'étais elle, ma jolie étudiante. Je me déplaçais avec sa légèreté et sa façon particulière d'envoûter les mecs du lycée. Je m'imaginais à sa
place en discothèque où ma jupe laissait des mains baladeuses s'emparer de mes fesses. Je faisais du shopping tout comme elle et je m'achetais des dessous sexy, soutiens
gorges ou nuisettes, guêpières pour mes amoureux.
J'en étais là de mes rêves lorsqu'une voix surgit de nulle part m'interpella. "Que fais tu mon garçon à toucher aux affaires des filles de nos voisins ?".
Je n'avais pas envisagé de me faire surprendre et je restais paralysé en cherchant une explication qui tienne la route. Avant même que je réalise ce qui m'arrivait, une main
ferme attrapa le dos de mon tee shirt pour m'indiquer le chemin à emprunter. En quelques secondes qui me parurent une éternité je me retrouvais dans le salon du gars. Des photos
de la voisine, toutes plus belles les unes que les autres, ornaient à plusieurs endroits les murs du domicile. Je venais de tomber sur un père célibataire et son fils toiut
juste majeur qui focalisaient sur une étudiante au corps de rêve.
Face à moi, droit dans ses bottes, le fils me fixait intensément tandis que son père légèrement en retrait bloquait l'accès à toute tentative d'évasion.
Sans préambule le père me lança un tangua gris bleu qui vint atterrir sur la table. Je le pris timidement pour le passer comprenant que refuser serait inutile. S'en suivi un
collant jeté au visage par le fils qui m'invita à l'enfiler rapidement. Je tentais quand même un refus énergique qui mis en colère les deux hommes. La jambe droite puis la jambe
gauche, la couleur Gazelle du collant Dim vint se noyer sur mes fesses et épouser celles-ci avec l'aisance d'une vague qui s'échoue sur le sable. J'ajustais le collant pour qu'il
ne fasse aucun pli comme me le suggéraient les deux acolytes.
Les mains de mes deux tortionnaires caressaient leurs sexes à travers leurs boxers. Le pantalon à mi cuisse ils laissaient leurs doigts s agiter sur leurs colonnes avec un
regard qui en disait long sur leurs intentions.
Nous aimons notre voisine et ne cessons de fantasmer sur elle. Nous t'avons vu faire avec ses dessous et nous aimerions te féminiser car tu as pratiquement le même corps. Tu vas
être sa jumelle rien que pour nous. On va t'obliger à nous sucer comme on aimerait l'obliger à le faire et ensuite à tour de rôle nous allons te sodomiser comme une sale garce qu'elle
doit être. Elle nous allume cette petite cochonne et nous on a rien d autre à se mettre sous la dent. Tu vas la remplacer !!
Nous avons subtilisé des affaires lui appartenant à quelques occasions pour qu'elle ne se doute de rien et nous imaginons souvent arriver à la séduire mais le temps passe et rien
ne se réalise. Aujourd’hui nous n en pouvons plus !! Enfile cette jupe plissée maintenant.
Le père avait pris sur le fil à linge la jupe plissée noire et blanche qui donnait tant de féminité à la démarche de la belle lorsqu'elle la portait. La jupe en marchant virevoltait
et lorsqu'elle la portait, mon adorable étudiante ressemblait à un papillon qui déploie ses ailes pour butiner de fleurs en fleurs.
Enfile cette jupe plissée et dépêche toi !
Je pris le vêtements, y passait une jambe puis l autre. Je remontais la jupe à la taille et tirais la fermeture éclair. Elle m'allait comme un gant et avec les collants je fus surpris de
sentir mon corps bouillir intérieurement. Mon sexe avait développé des arguments ne laissant aucun doute sur le plaisir que je découvrais.
Le père m'invita à essayer un bustier gris pâle avec des lacets sur le devant, des bonnets 95B préformés qui féminisait un peu plus mon allure. Il me lança des bijoux que je m
empressais de porter. Il s'absenta quelques secondes pour revenir avec la trousse de maquillage de son épouse qu'il m invita à utiliser. J'avais quelques notions à force d'épier ma sœur dans
ses séances interminables de maquillage. Je mis un peu de bleu autour des yeux pour ensuite allonger mes cils avec une pâte spécifique et le rimmel. Ensuite mascara paupières, crème joues et
rouge à lèvres.
Une perruque blonde du plus belle effet vint coiffer ma tête grâce à l'aide du fiston qui piétinait d'impatience. Je le sentais déjà se frotter sur mes fesses avec la virilité de sa
jeunesse. Je laissais faire telle une garce qui allume une classe entière pour juger de son pouvoir de séduction. Mon bassin se creusait, je bombais mes fesses comme une tranchée construite
pour supporter tous les assauts. Un fusil à canon long glissait dans le sillon sans décharger sa chevrotine.
Un morceau de Carlos Santana "Europa" diffusé à la radio incita le fiston à me proposer un slow langoureux. Je me blottis contre lui comme une chatte en manque de chaleur un jour d'hiver. Ma
tête sur son épaule, deux mains autour du cou je me laissais transporter. Il me libéra de son épaule et vint couvrir mon cou de baisers tandis que ses mains se faisaient baladeuses. Il mordilla
mes oreilles et je commençais vraiment à avoir envie de lui. Mes mains à leur tour s'aventuraient sur la braguette pour sentir une protubérance qui en disait long sur son excitation. A la fin
du slow je prétextais un pipi pour m'éloigner un instant. J'en profitais pour remuer le cul devant eux tout en rejoignant les toilettes. Assise sur celles-ci, je laissais la porte entrebâillée
pour que ces messieurs me voient uriner. Ma petite jupe remontée sur les cuisses, le tangua bleu à dentelles sur les chevilles je prenais mon temps. Je les regardaient avec un regard espiègle
avant d'essuyer la dernière goutte et les rejoindre.
Les deux agresseurs s'assirent sur le canapé. Je vins m'installer sur les genoux du papa. Les jambes écartées j'offrais à la vue du fiston une partie de mon intimité. Un bras autour du cou
de monsieur je vins poser un doux baiser sur la pointe du nez, puis sur le front, suivi des oreilles où mon souffle accéléré donna le top départ des hostilités.Mes lèvres se posèrent sur
celles qui s'offraient à moi tandis que ma langue sympathisait déjà langoureusement avec son alter ego. Mes mains se baladaient par ci par là effleurant au passage tantôt un torse légèrement
enrobé, tantôt un sexe aux abois. Le chaperon rouge constatait la présence dans un boxer du méchant loup. Il fallait l'apprivoiser !
Je tirais sur l'élastique avec délicatesse pour libérer le fauve qui s'impatientait dans la cage. Je me laissais ensuite glisser le long du torse pour gratifier de quelques sussions des petits
tétons qui dressaient. J'allais ensuite humer une verge de belle allure qui ne demandait qu'à m'honorer.
Je léchais la hampe avec gourmandise pour m'attarder sur le frein à la base du gland. Ma langue frétillait dessus comme un colibri antillais. Elle sentait les soubresauts réguliers s'emparer du
corps adverse.
Tandis que j'opérais une torture lancinante sur le père, deux mains douces d'adolescent à l'aube de son épanouissement vinrent écarter mes fesses pour découvrir mon intimité. Une langue de chat,
que dis je, de chaton vint se poser sur ma rosette et son lent tourbillon me terrassa d'un cri aussi inattendu que puissant. Un instant étourdie par cette agréable préambule mes dents se
serrèrent sur la bite qui fouillait ma bouche.
Sa rigidité n'était pas à démontrer, moins encore après cette attaque surprise.
Je laissais le jeune vaquer à ses occupations portée par la symphonie de ses plaintes de plaisir. Il dépucelait sa langue comme un critique gastronome du guide michelin entrain de noter un 4
étoiles. Il découvrait ou tout au moins feignait de découvrir le paradis des travestis. Comme d'habitude j'avais lavé mon intimité avec le plus grand soin et poussé le vice à parfumer l'entrée
d'une senteur féminine à la gousse de vanille. Le jeunot fin gourmet se gavait de la pâtisserie qui s'offrait à lui.
Pendant ce temps la glace de monsieur son père ne fondait pas. Elle n'était pas italienne mais plutôt bien ferme à la dégustation. L'enveloppe était bonne et le contenu tardait à se dévoiler.
Malgré de longues descentes, vertigineuses et interminables, le frein sur le frein, lente fellation au goût de ralenti, malgré des remontées tout aussi retenues, empruntent d'humidité féline,
d'humidité baveuses, le bougre ne cédait rien. Il maitrisait ses nerfs et ma pipe tout aussi sensuelle qu'à l'accoutumée ne gagnait rien sur son envie d'en profiter plus longuement. Un combat
inégal où j'avais toutes les chances d'y laisser mes lèvres.
Je décidais de soulager un temps celles ci. Mon petit trou lubrifié par la salive abondante du gamin ne demandait qu'à s'épanouir. Je tournais le dos au père qui se retrouvait comme au cinéma X
en 3D. Le nez dans le guidon il tenait la barre haute tant la vue qui s'offrait à lui représentait son idéal. Tel un marin qui aperçoit au loin la terre, il hissa autour du mat principal la
grande voile. Je reculais tout en amorçant la descente lorsqu'il attrapa mes hanches pour diriger la manœuvre. Mon cul en suspension attendait les ordres du chef de quart. Il appuya fermement sur
mes hanches pour intimer l'ordre de descendre plus encore. Je senti un dard se positionner à l'orée de ma rosette et d'une main passée sous mon corps, je pris la barre pour l'accostage
final.
Bien installée face au défit qui m'attendait, 19 cms par 6 de descente, je gardais le cap. Un centimètre en rappel et j avais déjà les fesses en feu.
Au diable la douleur, une fois les premières résistances, les lignes d'appui sont moins difficiles. Je persistais comme un moussaillon qui veut regagner la rive sans s'astreindre à un long
détour. Après 10 cms d'effort l'extase s'installait. Comme une drogue douce qui annihile la raison, je fermais les yeux pour apprécier ce cadeau de la nature qui s'invitait en moi. Épais et
lustré comme une vieille relique, le gland qui avait forcé mon passage s'aventurait en terre inconnue. 5 centimètres de plus et je délirais. J'inventais des jurons qui n'existaient que dans mon
dictionnaire et dont l'effet se répercutait sur mes deux amants. Ils avaient la poutre à l'ancienne, celles des maisons de nos ancêtres, solides et indestructibles.
Le jeunot vint me la faire goûter de toute sa longueur tandis que je m'effondrais jusqu'à la garde sur le pieu de papa. Ses couilles claquèrent mes fesses au moment même ou celles du gamin
atteignaient mes lèvres.
J'avais le clito en ébullition. Je me branlais de plaisir assaillie par ces queues que j'imaginais plus nombreuses encore. J'avais momentanément perdu la parole mais pas mes esprits.
Je me soulevais lentement les fesses pour stopper le coït anal tout en feignant de refuser la pipe au fiston. Je me retrouvais avec deux excités
les couilles pleines à ras bord.
Comme une fille en chaleur, je m'allongeais sur la table, la jupe relevée au nombril, les bas bien visibles au bout desquels de hauts talons pointaient au plafond. J'écartais ma rosette
avec deux doigts vernis rouges. Toute rose, une cible à atteindre, j invitais le fils à me prendre rapidement.
"Viens, prends moi ! Ton père à eu sa part !
Le sexe rouge écarlate gorgé de sang, les veines saillantes étirées sur les 18 cms de colonne, junior vint placer son gland sous cellophane sur la porte des secrets. Je posais mes jambes sur ses
épaules pour soulager mes abdominaux et détendre l'entrée. La peau de mon anus se dilata au contact de ce sexe qui s'impatientait. Je sentis mon cul s'abandonner comme si mes lèvres s'animaient
et aspiraient cette bite ferme et turgescente. Il s’enfonça dans ta totalité et resta une bonne minute sans faire un mouvement.
Ses mains agrippées à mes jambes, son regard cherchait le mien, les yeux embrumés, il semblait se repaitre de cette chaleur que mes entrailles diffusaient. Lorsqu'il repris ses esprits, son
regard s'anima pour plonger vers son sexe qui me possédait. Ouvert autour de 6 cms de chair fraîche, mon trou béat encaissait allègrement les assauts. Comme un automate programmé pour jouir,
junior allait d'un va et vient de toute élégance, m'offrant 18 cms à l'aller, autant en retour. Deux bourses pleines à craquer tendaient une peau lisse comme des boules de billard et venaient
s'échouer à un rythme régulier sur mes fesses.
Sénior, un temps scotché par l'aisance de sa progéniture, se ressaisi rapidement. Après avoir escaladé la table, comme un défi à mon audace, il vint poser ses bourses sur mes lèvres . Ses doigts
poussaient les deux boules afin de les introduire dans ma bouche accueillante. Lorsque je les eues gobées jusqu'à la garde il mima une pénétration au cours de laquelle il se branlait, juste au
dessus de mes yeux.
Sa bite dure se profilait dans l'axe de mon nez....le gland apparaissait et disparaissait à ma vue au rythme de sa masturbation. Une goutte perlait et donnait à l'ensemble un reflet
transparent. J'avais le sentiment qu'un miroir s'offrait à moi, je me contemplais dans celui-ci le visage à l'ombre d'un sexe.
Junior ne faiblissait pas. La vue de papa violant ma bouche avait remonté son horloge biologique. Il avait pris 20 ans d'expérience en un après midi.
Il m'insultait avec classe comme si j'étais sa voisine. Dans son esprit je la remplaçais aisément. Grisé par son succès d'imposture, il s'aventurait au plus profond de moi comme s'il voulait
conclure des fiançailles. Sa voisine devait le faire fantasmer depuis belle lurette et j'en profitais sans qu'elle ne le sache.
Assaillie de toute part je ne rendais pas les armes. Je bouffais ses couilles qui ne demandaient qu'à exploser. Ma langue s'aventurait par moment sur son anus sans s'attarder. Je me rassasiais
jusqu'à plus faim de ce porc qui convoitait un objet inaccessible. Tel père tel fils.
J'avais les reins en feu à subir des assauts longs et réguliers. Mes sphincters se contractaient sur la queue du morveux qui semblait apprécier en lâchant quelques cris étouffés. Il montait en
puissance, je sentais les veines me limer comme une protubérance qui cherche à se frayer un chemin dans un canal partiellement colmaté.
Alors que je ne m'y attendais pas, le vieux cochon vint m'enfiler en gorge profonde sa bite qui n'eut pas longtemps à patienter pour libérer un jus épais et crémeux. Le liquide chaud se répandit
dans la bouche comme une pâte à relever des empreintes dentaires. En bon sommelier au fait de son art, je dégustais le laitage y décelant une pointe de senteurs boisées et de fruits rouges.
Junior quant à lui bousculait sa bonhommie habituelle et donnait de grands coups de reins dans mon bassin largement épanoui. Il entrait et sortait allègrement sans avoir à batailler pour
trouver l'entrée. Elle ressemblait à un cratère volcanique dont la lave bouillante se concentrait dans des testicules amies. Ma rosette prenait des allures écarlates et l'intérieur celui d'une
lave en fusion. Elle était envahie de soubresauts à chaque fois que cette queue sortait, reprenant sa tension à chaque pénétration. J'apercevais dans un miroir ce chibre me posséder. Il s'amusait
à entrer profondément et à ressortir complètement avant de recommencer. Sénior me suçait maintenant le clito tout en taquinant mes seins. J'étais excitée comme une gamine dans un bassin
d'hot.
Je gémissais sans retenue. Mes cris redoublaient sous chaque coup.
Ma lave blanche, au bord de la lance à incendie, j'étais comme un soldat du feu seul à combattre l'Etna à la recherche d'une issue de secours. Devant la bouche du père je me lâchais abondamment.
Le visage maculé de sève il tendait la langue pour ne rien perdre. Le fiston attentionné ne mis pas longtemps avant de percuter violemment mes fesses comme s'il cherchait à allonger sa verge déjà
bien conséquente. Je cambrais sous les assauts de façon à stimuler plus encore sa libido. Ses mains tenaient fermement mes hanches pour garder l'axe du mâle. J' haletais à nouveau car le père
suçait avec frénésie mes tétons qui pointaient dur.
Après quelques minutes aussi chaude qu'une fournaise, mon chaudron bien accueillant senti que mon amant se crispait dedans. Quelques râles sonores vinrent déchirer mon domicile et la secousse
sismique fut d'une intensité remarquable, les répliques n'ayant pas à rougir pour autant.
Je planais littéralement pendant un long moment avant de me retirer. Le sexe encore bien consistant de mon jeune amant eu le droit à un nettoyage buccal en règle devant le regard médusé de papa.
Son fiston venait de passer un examen avec succès.
Mais que crois tu Léo.....je suis une poètesse du sexe......non ?
Merci Claudie, j ai aussi beaucoup de plaisir à dialoguer avec toi et nous raconter nos aventures.
J espère bien Léo que ça a remué tes trippes et nombre d autres. C est un peu le but. Il me faut à présent trouver un autre sujet pour vous en faire lire le déroulé.
Bisous candice
Juste toi qui m inspire....Et les autres